25 avril 2009

Je reviens de voir ma grand-mère qui a un faible taux de globules et une vrai pneumonie a l'Hôpital de Sorel.

L'hôpital est vraiment sale... les planchers ne sont lavés qu'une seule fois par semaine ,au 3 ième étage. Mon grand-père trouve disuctable qu'il lave avec de l'eau sale en plus!

La santé de nos ainées est très fragile et nous par les coupures dans l'entretien aggravons leurs condition, plutôt que de donner l'entretien au privé . Cela auras surement un effet sur la qualité du travail et les couts qui y sont rattachés

ça vaut la peine de s'y penché ne serait-ce que pour un meilleur entretien.

24 avril 2009

vivement le privé en santé


Selon une enquête de l’IEDM sur la mixité de la pratique médicale, le Québec se prive de l’équivalent de 790 médecins spécialistes les jours de semaine


Montreal, 22 avril 2009 - Le Québec pourrait réduire les listes d’attente des médecins spécialistes et maximiser leur offre d’heures disponibles si on les autorisait à travailler à la fois dans le secteur public et dans le secteur privé, ce qui ajouterait l’équivalent de 790 médecins spécialistes à temps plein les jours de semaine.

Dans une Note économique publiée par l’Institut économique de Montréal (IEDM), une auteure de cette enquête sur la mixité de la pratique médicale, l’économiste Julie Frappier, précise que «plus de la moitié (51%) des médecins spécialistes sont prêts à travailler 4 heures par semaine dans le secteur privé; cela, tout en souhaitant à 68% que le gouvernement impose un minimum de 35 heures de travail dans le secteur public avant d’offrir des heures dans le secteur privé».

Le vice-président et économiste en chef de l’IEDM, Marcel Boyer, conclut que «le Québec a les ressources pour augmenter l’accessibilité aux soins de santé; tant que l’ouverture à une plus grande participation du secteur privé – tout en préservant le rôle d’assureur de l’État – continue d’être bloquée, le gaspillage de ressources va se poursuivre».

Des médecins prêts à travailler plus

Les résultats de l‘enquête auprès des médecins spécialistes montrent qu’en plus d’être intéressés à travailler dans le secteur privé pendant la semaine, 38,6% et 30,4% d’entre eux sont prêts à offrir près de 4 heures en moyenne les soirs de semaine et les week-ends. Cela équivaut à l’ajout de 740 spécialistes à temps plein durant les soirs de semaine et à 1924 durant les fins de semaine. Ainsi, autoriser les médecins spécialistes à travailler à la fois dans le public et le privé permettrait de combler en bonne partie la pénurie de spécialistes.

Des ressources sous-utilisées

En juin dernier, l’IEDM a précisé dans une enquête que 54% des infirmières sont disposées à travailler les jours de semaine dans le secteur privé, en plus de leur semaine de travail normale dans le secteur public. En décembre 2007, une autre enquête de l’IEDM a révélé que les salles d’opération des hôpitaux du Québec sont utilisées à 50% de leur capacité les jours de semaine.

De nombreuses mesures seront nécessaires pour corriger la pénurie de médecins spécialistes. Par contre, les systèmes de santé provinciaux fonctionnent encore largement dans le cadre de la Loi canadienne sur la santé, qui s’oppose à des réformes qui pourraient améliorer l’accessibilité et alléger la pression sur les contribuables.

Le Canada est en queue du peloton des pays de l’OCDE pour l’accès aux médecins spécialistes. De nombreux États européens, tels que la France, l’Allemagne et la Suède, ont un système de santé mixte, où les fournisseurs privés en soins de santé peuvent apporter une contribution importante à la santé publique, augmenter l’efficacité du système et réduire considérablement les listes d’attente.

Méthodologie de l’enquête

L'échantillon étudié comprend 581 médecins spécialistes. L'enquête a utilisé deux formulaires: un questionnaire exhaustif affiché sur le Web et un questionnaire plus court mettant l'accent sur les paramètres de l'offre de temps en réserve. Ce dernier a été envoyé aux médecins par l'entremise des associations de médecins spécialistes qui ont accepté d'acheminer par courriel le questionnaire à leurs membres.

Les présidents des associations affiliées à la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) ont été approchés pour solliciter la participation de leurs membres. Après une revue de la littérature sur le sujet, 19 entrevues ont été menées avec les différents présidents de ces associations, afin de valider le cadre contextuel des soins de santé et les hypothèses de l'étude. Le questionnaire a été approuvé par cinq médecins avant le lancement de l'étude, afin d'assurer sa pertinence. Les médecins spécialistes du Québec ont ensuite été invités, sur une base volontaire, à remplir le questionnaire.

Les auteurs

La Note économique intitulée Médecins spécialistes au Québec: évaluation de l’offre de réserve a été préparée par Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef de l’IEDM, et Julie Frappier, économiste de la santé et titulaire d’une maîtrise en économie de l’Université de Montréal.

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L’Institut économique de Montréal est un organisme de recherche et d’éducation indépendant, non partisan et sans but lucratif. Par ses études et ses conférences, l’IEDM alimente les débats sur les politiques publiques au Québec et au Canada en proposant des réformes créatrices de richesse et fondées sur des mécanismes de marché.

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Renseignements et demandes d’entrevues: André Valiquette, directeur des communications, Institut économique de Montréal, Tél. : (514) 273-0969 p. 2225 / Cell. : (514) 574-0969 / Courriel : avaliquette (@iedm.org)


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16 avril 2009

Bond du nombre de médecins non participants à la RAMQ : « Seul un système de santé mixte peut résoudre ce problème » -Éric Caire

2009-04-16, 15:45

« La démonstration n’est plus à faire : notre système de santé, par la surcharge de travail qu’il impose, étouffe littéralement nos médecins. Ce n’est pas une surprise de constater que les médecins fuient un réseau qui ne correspond pas à leurs attentes. Un système de santé mixte permettrait à tous les médecins non participants à la RAMQ, et à ceux qui songent à le devenir, d’exercer leur pratique dans un établissement public fort et de la compléter dans le privé. Cela permettra de préserver tous les services aux Québécois sans augmenter leur fardeau fiscal », a déclaré Éric Caire.

Le député de La Peltrie, qui remarque que les signaux en faveur d’un système de santé mixte ne cessent de se multiplier, invite le gouvernement libéral à s’ouvrir les yeux et à arrêter de nier la réalité comme il le fait depuis maintenant six ans. « Notre système de santé se retrouve dans seulement deux autres pays : Cuba et la Corée du Nord. Je pense que les Québécois méritent mieux et les médecins aussi », a plaidé le porte-parole adéquiste.

Rappelons qu’à la dernière législature de l’Assemblée nationale, l’Action démocratique du Québec avait déposé le projet de loi 392 sur la mixité de la pratique médicale. Cette démarche avait été appuyée par la Fédération des médecins spécialistes du Québec, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec et Fédération des médecins résidents du Québec. Cette dernière avait d’ailleurs déclaré que « la pratique mixte, telle que décrite dans le projet de loi no 392, constitue un exemple de la façon dont le système privé, lorsque bien encadré, peut renforcer le système public plutôt que de le mettre en péril »

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4 avril 2009


RIEN À AJOUTER... À PART QUE CELA AURAIT BIEN PU ÊTRE UN SAPIN