Un jour, j'ai lu une lettre qui m'a bouleversée. La dame décrivait son histoire d'horreur avec l'IVAC... organisme mal organisée et entêté a s'enfoncer dans la bureaucratie plutôt que de se consacrer a son vrai mandat qui est d'aider les victimes d'actes criminel.Voici donc, après leur permission, la lettre.
Mon conjoint a été victime d'un acte criminel, voici les grandes lignes du dossier de mon conjoint Alain auprès de IVAC.
Il a été victime d'un acte criminel (tentative de meurtre en recevant 22 coups de couteau) le 21 juin 2005,il a subit des blessures physique tel blessure a la mâchoire coté gauche, avec séquelle permanente au dos (vertèbres L-4 et L-5 et disque du milieu) sans compté les blessures psychologique. Il a du appliquer a IVAC pour indemnité pour les victimes. Depuis le début de son dossier, il y a eu plusieurs erreur, on a demander une copie du dossier pour se préparer a une révision de décisions dans son dossier. On nous a envoyer par erreur 2 copies de documents appartenant a 2 autres victimes d'actes criminel, on a refuser l'aspect des blessures physique a mon conjoint baser sur un diagnostic qui appartient a une autre victime. Il y a plus de 7 agents chez IVAC qui on passer dans le dossier. Nous avons été bloqué par IVAC car il on dit que mon conjoint avait eu des propos menaçant envers un employé de IVAC, ils ont envoyés une mise en demeure en nous avisant que mon conjoint n'a plus le droit de communiquer par téléphone ni même en personne par voie de mise en demeure. En agissant de la sorte, il on bloqué mon conjoint et cela nous complique l'existence. J'avais une autorisation a parler dans le dossier, mais ils ne veulent pas me parler a moi non plus, sous prétexte que mon conjoint va écouter sur l'autre ligne. Il prenne des mesures inacceptables et injuste, la personne visée dans la mise en demeure, c'est mon conjoint et non pas moi. Nous avons demander assistance au bureau de Jean Charest, premier ministre, il se sont envoyé la balle, personne ne voulais s'occuper de ce dossier car c'était la période d'élection, et c'était un dossier brulant, une patate chaude... et il avait peur que ça se retrouve dans les médias. Nous avons demander assistance a Benoit Pelletier région de l'Outaouais, mais rien n'a été fait de concret, nous avons aussi écrit au ministre Marcoux qui nous referait a s'en remettre dans les mains de IVAC, ministre Dupuis, ministre Couillard, mais toujours des refus. Nous avons finalement tomber sur le député de Chicoutimi monsieur Bédard du parti Québecois qui est critique en justice et qui lui a fait un contact avec le ministre Marcoux et questionner a savoir pourquoi et savoir quel seront les démarches faite pour régler et indemniser la victime, rétablir les paiements des médicaments, reconnaitre les blessures physique reliés a l'évènement et non des blessures appartenant a d'autre victimes, de remédier a l'aspect sur les mesures de protections des renseignements confidentiel. Monsieur le ministre a nommer une personne pour s'occuper du dossier auprès de la CSST, mais malheureusement, il a été question de nous faire que des excuses, aucun changement de position pour les erreurs de diagnostic que IVAC on fait. Aucun rétablissement des paiements de médicaments, aucun changement de position de reconnaitre les blessures subit. Nous demandons que IVAC reconnaisse les blessures physique qu'il refuse d'admettre, de rétablir l'aide personnel et le cout des médicaments qu'il on suspendu a cause de la décision qui on prit. Nous avons du faire une demande d'opposition a la décision au tribunal administratif (TAQ) mais pourquoi devoir s'en remettre au TAQ qui prendra peut-être 2 ou 3 ans a régler alors qu'on voit clairement les erreurs qu'il on fait ? Avant de se rendre au TAQ, nous avons fait opposition a la décision qui avait été rendu, nous avons du envoyé plus de 150 pages de preuve a un réviseur qui a été nommé pour rendre une nouvelle décision, nous avons fait affaire avec Droit d'accès de l'Outaouais qui est un organisme a but non lucratif qui vient en aide au personne qui on des problèmes psychologique et mental pour se défendre pour finir par se faire dire que IVAC avait raison d'avoir prit les décision qu'il avait prit. Le réviseur qui travaille pour IVAC dans sa décision parle du refus de la blessure a la cheville (qui appartient a une autre victime) c'est donc dire qu'il n'a pas étudié les 150 pages de preuves que nous avons fournit. Nous avons fournit tout ces documents avec 7 volets. Il y a plusieurs professionnel de la santé d'impliquer dans ce dossier comme 2 orthopédiste différent 1 de Gatineau et 1 autre de Ottawa, un médecin de famille, un chirurgie maxillo-facial, un psychologue et même leur médecin psychiatre de Laval, qui a fournit une expertise demandé par IVAC qui va dans le même sens. Même le corps policiers qui a écrit une lettre pour confirmer les dires a propos des menaces, balle tiré dans la vitre chez ma fille, sans compter toutes les menaces reçus soit par téléphone, intimidation en personne, crever les pneus de ma voiture, lettre de menace coller dans mon pare-brise, briser mon pare-brise, graffigner nos véhicules etc... Nous avons toutes les preuves a l'appui de ce que nous disons. Nous avons fait une entrevue avec Pierre-Jean Seguin de CHOT-TV de l'Outaouais, mais cela reste regional, nous estimons que le grand public devrait savoir de comment cela se passe chez IVAC, que rien de sérieux est fait pour préserver nos renseignements confidentiel.
M.Dumont comme vous etes dans l'opposition officielle maintenant, nous estimons que vous serez les gens qui pourrons contribuer a régler les problèmes dans ce dossier volumineux de IVAC.
IL EST GRAND TEMPS QUE CETTE LOI VIEILLE DE 32 ANS SOIT AMENDÉE, CELA EST UNE INJUSTICE FLAGRANTE POUR LES VICTIMES, comme les dossiers du fils de Mme Baril a Montréal qui a été poignardé a montréal, M. Boisvenu qui a perdu sa fille qui a été tuée et combien d'autre que nous avons entendu parler.
Les argents qui sont saisie par les criminels, ou va t'elle, ne serait pas censé d'être redistribué vers les victimes qui souvent leurs vies est brisé pour avoir été victimes ? Beaucoup de professionnel disent que cela est une situation qui est inacceptable d'être d'abord victime d'un acte criminel, pour ensuite devenir victime du système de IVAC...???
Merci.