27 novembre 2006
un petit tour du rapport Chaoulli
la Cour suprême du Canada statuait que l'interdiction de contracter une assurance médicale privée était contraire à la Charte des droits et libertés du Québec. Dans une décision partagée, à quatre contre trois, le tribunal a jugé que les trop longues listes d'attente dans le réseau de santé québécois mettent en péril « le droit à la vie et à la sécurité de la personne », protégé par la Charte québécoise.
http://www.radio-canada.ca/radio/maisonneuve/16022006/69637.shtml
Il ne faut pas oublier de cliquer les liens de droite... tous tres interessents
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L'opinion de M.Castonguay sur le systeme de santé
L'avenir du système de santé: Sommes-nous condamnés à des crises perpétuelles?,
27 janvier 2004 Conférence présentée par M. Claude Castonguay, C.C., O.Q.,
ancien ministre de la Santé et fondateur du régime d’assurance-maladie du Québec, devant l'Institut économique de Montréal.
L'établissement de l'assurance-maladie québécoise a donné préséance au droit collectif à la santé. Aujourd'hui, dans sa forme actuelle, notre système de santé n'est plus financièrement viable et les gouvernements successifs ont choisi la voie du rationnement pour rétablir l'équilibre entre ses revenus et les dépenses de santé. On a ainsi subordonné le droit fondamental à la santé des individus à un objectif collectif qui tient maintenant d'une idéologie insensible aux besoins et aux personnes. Le rétablissement de ce droit fondamental est donc devenu un enjeu de taille et c'est dans ce contexte qu' il faut aborder l'apport du privé en matière de soins de santé. En effet, au-delà de l'aspect financier, la place du secteur privé dans notre système de santé implique désormais une importante question de principe. L'actuelle prohibition du privé va à l'encontre du droit à la santé et prive la personne de sa liberté de choix. Il existe pourtant plusieurs exemples d'une coexistence positive du public avec le privé. La conciliation entre la reconnaissance du droit fondamental à la santé et le maintien d'un régime public accessible à tous est donc possible.
http://www.iedm.org/main/events_transcript_fr.php?events_id=20 texte complet.
Quand le fondateur croit que son systeme ne reponds plus aux besoins et qu'ils briment meme la liberté de plusieurs, on continue à se mettre la tete dans le sable et à augmenter les budgets,qui n'atteindront jamais l'objectif d'un regime de santé qui repondrais aux besoins de tous dans des délais acceptables.
Certains diront que cela va créer un systeme a deux vitesses... ca ne créeras rien ca existe deja!
les gens paient pour des opérations aux genoux, aux cataractes,des soins dentaires, aux hanches, en service de réadaptation et j'en passe!
La seule chose que cela crée est le désengagement des médecins du système public, la frustration des gens qui ne peuvent recourrir a une assurance pour ce faire soigner où et quand ils le veulent.
27 janvier 2004 Conférence présentée par M. Claude Castonguay, C.C., O.Q.,
ancien ministre de la Santé et fondateur du régime d’assurance-maladie du Québec, devant l'Institut économique de Montréal.
L'établissement de l'assurance-maladie québécoise a donné préséance au droit collectif à la santé. Aujourd'hui, dans sa forme actuelle, notre système de santé n'est plus financièrement viable et les gouvernements successifs ont choisi la voie du rationnement pour rétablir l'équilibre entre ses revenus et les dépenses de santé. On a ainsi subordonné le droit fondamental à la santé des individus à un objectif collectif qui tient maintenant d'une idéologie insensible aux besoins et aux personnes. Le rétablissement de ce droit fondamental est donc devenu un enjeu de taille et c'est dans ce contexte qu' il faut aborder l'apport du privé en matière de soins de santé. En effet, au-delà de l'aspect financier, la place du secteur privé dans notre système de santé implique désormais une importante question de principe. L'actuelle prohibition du privé va à l'encontre du droit à la santé et prive la personne de sa liberté de choix. Il existe pourtant plusieurs exemples d'une coexistence positive du public avec le privé. La conciliation entre la reconnaissance du droit fondamental à la santé et le maintien d'un régime public accessible à tous est donc possible.
http://www.iedm.org/main/events_transcript_fr.php?events_id=20 texte complet.
Quand le fondateur croit que son systeme ne reponds plus aux besoins et qu'ils briment meme la liberté de plusieurs, on continue à se mettre la tete dans le sable et à augmenter les budgets,qui n'atteindront jamais l'objectif d'un regime de santé qui repondrais aux besoins de tous dans des délais acceptables.
Certains diront que cela va créer un systeme a deux vitesses... ca ne créeras rien ca existe deja!
les gens paient pour des opérations aux genoux, aux cataractes,des soins dentaires, aux hanches, en service de réadaptation et j'en passe!
La seule chose que cela crée est le désengagement des médecins du système public, la frustration des gens qui ne peuvent recourrir a une assurance pour ce faire soigner où et quand ils le veulent.
tite reflexion...
Pourquoi les étudiants en médecine ne supportent-ils pas la FMSQ?
Après tout c'est vos intérèts qu'ils defendent! Un fois diplomé c'est sous les conditions que la FMSQ auras négocier que vous allez travailler.... ce pourrait-il qu'il y en ai qui ne regarde pas plus loin que le bout de leur nez?
ou est ce que le maitre de l'hypnose Couillard a réussis a vous endormir aussi?
Après tout c'est vos intérèts qu'ils defendent! Un fois diplomé c'est sous les conditions que la FMSQ auras négocier que vous allez travailler.... ce pourrait-il qu'il y en ai qui ne regarde pas plus loin que le bout de leur nez?
ou est ce que le maitre de l'hypnose Couillard a réussis a vous endormir aussi?
médecin spécialiste VS Couillard
Le nouveau président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette, a dit en entrevue téléphonique que le recours au Conseil était "de l'opportunisme politique, du 'doctor-bashing'. Ce n'est pas ça qui va améliorer nos relations", a-t-il dénoncé, en doutant de l'impartialité du Conseil.
Devant l'impasse, M. Barrette a recommandé l'arbitrage obligatoire, qui "sert quand les parties ne s'entendent pas. Evidemment, le gouvernement refuse".
Plutot que d'essayer de s'entendre avec les médecins ,Couillard y va d'une autre partie de bras de fer, rien pour calmer l'atmosphère qui règne en ce moment entre les médecins spécialiste et Couillard.
Quand va-t-il se rendre a l'évidence que ses négociations ne menent nulle part et céder le dossier a quelqu'un qui pourras résoudre ce problème qui perdurent depuis déjà trop longtemps?
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