19 janvier 2007

petite victoire

Je tiens a vous partager la lettre que j'ai envoyé à l'Honorable Stephen Harper.

M.Harper viens tout juste d'annoncer un projet d'étude sur l'attente des enfants en chirurgie.Il y a certaines chirurgies qui sont selectionnées pour l'étude ,et les soins dentaires sous anesthésie sont inclus,un service de santé pour lequel je milite depuis bientot 4 ans.

Les soins dentaires pour enfants je peux vous en parler des heures sans jamais m'arrêtée! Alors je vous épargne ce supplice .


Passons a ma lettre.



Bonjour M.Harper,

Il y a près de 1 an,juste avant votre 1 ère rencontre avec M.Charest, je vous ai écrit pour vous informer d'un problème que vivent plusieurs enfants du Québec ,au niveau de la santé dentaire et les soins de pédodontisterie.

J'ai pu ressentir des effets quelques mois plus tard alors que le ministre de la santé avait décidé d'augmenter les quotas de 25 % pour un seul trimestre et pour tout les dentistes.... ce fut un léger baume pour les enfants en attente.(l'attente pour les urgences est souvent de 3 mois en clinique privé et de 1 an et demi en service hospitalier... et cela sans parler des chirurgies électives! )

Alors la nouvelle d'un projet visant a réduire les listes d'attente pour les enfants m'a plus que réjouis aujourd'hui.

Continuer ce projet malgré ce que vous pourrez ressentir comme pression pour le faire cesser.... les enfants sont sans voix , alors seulement vous pourrez réaliser a quel point ils sont en otages dans notre systeme de santé.

Il est très difficile d'expliquer l'attente a un enfant qui souffrent .... qui voudrait bien aller jouer comme ses amis librement ,sans maladie.

Suzanne Doré

si vous voulez voir d'autres réponses a ce projet de loi...
Vous avez sous le titre: Couillard pas très chaud au projet pilote de Harper... La reponse de notre cher Couillard . http://suzannedore.blogspot.com/2007/01/couillard-pas-trs-chaud-au-projet.html

Premier ministre du Canada : Le nouveau gouvernement du Canada annonce un projet pilote pour les garanties de délais d'attente en pédiatrie

Premier ministre du Canada : Le nouveau gouvernement du Canada annonce un projet pilote pour les garanties de délais d'attente en pédiatrie

un projet de loi que je chéris

Le nouveau gouvernement du Canada annonce un projet pilote pour les garanties de délais d'attente en pédiatrie
11 janvier 2007
Toronto (Ontario)


Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui que le gouvernement investit 2,6 millions de dollars dans un projet pilote de garantie de délais d’attente en chirurgie pédiatrique. Il s’agit d’une autre mesure prise par notre nouveau gouvernement pour faire en sorte que l’ensemble des Canadiennes et des Canadiens reçoivent des traitements médicaux essentiels dans des délais cliniquement acceptables.

« À terme, l’initiative d’aujourd’hui aboutira à une Garantie de délais d’attente pour tous les enfants », a déclaré le Premier ministre Harper.

Le projet pilote, d’une durée de 15 mois, commencera en janvier 2007. Il prévoit l’élaboration d’un premier système d’information pancanadien qui permettra d’établir les délais imposés pour les chirurgies pédiatriques. Il comportera en outre l’élaboration d’un plan pancanadien de recours clinique lorsque les délais dépassent largement les lignes directrices proposées par la Coalition nationale sur la santé des jeunes et des adolescents (CNSJA) et entérinées par les Paediatric Surgical Chiefs of Canada.

Le projet sera initialement axé sur spécialités cliniques : chirurgie cardiaque, cancer, neurologie, vue, déformation de la colonne vertébrale et traitements dentaires sous anesthésie. Dans un délai d’un an, on choisira l’une de ces spécialités pour mettre à l’essai la garantie qui prévoira un recours pour les patients qui attendent trop longtemps.

« Pour un parent, il n’y a rien de plus déchirant que la souffrance d’un enfant. Comme nos enfants sont l’avenir du Canada, ils méritent les meilleurs soins possibles dans les plus brefs délais possibles », a déclaré le Premier ministre.

Il s’agit du quatrième projet fédéral de garantie de délais d’attente annoncé à ce jour par le nouveau gouvernement du Canada. Il sera mené en partenariat avec 16 centres de santé pédiatrique universitaires sous l’égide des Paediatric Surgical Chiefs of Canada et de l’Hôpital pour enfants.

se faire soigner a Cuba tout inclus.

Une société québécoise facilite l'obtention de soins de santé à Cuba
2007-01-16 18:58:00

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MONTREAL (PC) - Une société québécoise offre ses services d'intermédiaire aux Québécois désireux d'obtenir des soins de santé à Cuba, sans longs délais et à quatre heures de vol d'ici.


Comme on pouvait s'y attendre, cette annonce faite en conférence de presse à Québec mardi a suscité quelques commentaires du ministre de la Santé, Philippe Couillard.
Mis à part les interventions lourdes, comme les opérations au coeur, les soins disponibles vont du traitement des cataractes, au remplacement de la hanche jusqu'aux chirurgies esthétiques.

Selon la présidente fondatrice de Services Santé International (SSI), Lucie Vermette, les coûts prévisibles sont de 5000 $ à 6000 $ pour le remplacement d'une hanche et de 2000 $ pour les cataractes.

Les gens intéressés doivent transmettre leur dossier médical et le diagnostic obtenu (il peut n'être que verbal) à SSI qui refile l'information à Cubanacan Turismo y Salud.

Moins de quelque 72 heures plus tard, les médecins cubains indiquent les soins requis et les coûts s'y rattachant. Il revient alors au patient en cause d'acheter un billet d'avion et une assurance et de s'envoler vers Cuba.

Cubanacan est un groupe oeuvrant dans le tourisme cubain avec quelque 70 hôtels. Une de ses divisions est Turismo y Salud (Tourisme et Santé).

SSI demande 200 $ pour s'occuper d'un dossier. Par la suite, SSI se voit remettre par Cubanacan environ dix pour cent de la somme versée pour l'obtention des soins, a indiqué Mme Vermette au cours d'une interview téléphonique.

Cubanacan Turismo y Salud est spécialisée dans les services de santé depuis une quinzaine d'années et fournit ces services de santé aux ressortissants d'une trentaine de pays. "On n'a pas inventé la roue", a commenté la porte-parole de SSI.

"Les soins sont donnés par des médecins de grande compétence, et ce, dans des hôpitaux cinq étoiles", d'assurer Mme Vermette qui s'est rendue à plusieurs reprises à Cuba, a examiné la formation des médecins en question ainsi que leur profil de carrière. Outre l'espagnol, la plupart parlent anglais, certains le français, le russe et l'allemand, a-t-elle assuré.

"Au moment des examens, de la communication du diagnostic et des explications sur l'opération, une personne pourra faire la traduction, si nécessaire", a-t-elle ajouté.

Les tractations de SSI ont commencé il y a un an environ, auprès de l'Ambassade de Cuba, à Ottawa.

La motivation de Mme Vermette lui est venue d'un problème de santé qui l'a inquiétée pendant un bon six mois, le temps d'obtenir une consultation auprès d'un spécialiste. "J'ai déploré d'avoir été angoissée pendant six mois, pour rien", a-t-elle dit.

D'un autre côté, elle comprend "comme l'ensemble des Québécois que le gouvernement n'est pas un magicien et qu'il ne peut inventer des médecins".

Mme Vermette, qui a oeuvré pendant dix ans à la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, a bien hâte que le site Internet de SSI soit complété. Pour l'heure, le bouche à oreille a fait en sorte que déjà trois Québécois sont sur les rangs pour se rendre à Cuba.

Le ministre Couillard n'est sûrement pas de ceux-là. "Jamais je ne me ferais opérer par un chirurgien que je ne peux pas revoir par la suite", a-t-il déclaré.

Le ministre a fait valoir qu'il y avait eu de nettes améliorations depuis quelques mois quant à l'attente pour une chirurgie à la hanche, au genou et aux yeux, pour des cataractes, comme l'ont démontré les agences régionales de la santé.

"Il faut être extrêmement prudent. Les listes d'attente sont en baisse au Québec et les délais sont améliorés pour les chirurgies et c'est là que la solution se trouve", a dit le ministre Couillard


http://nouvelles.sympatico.msn.ca/Une+societe+quebecoise+facilite+lobtention+de+soins+de+sante+a+Cuba/Accueil/ContentPosting.aspx?isfa=1&newsitemid=10966017&feedname=CP-NATIONALES&show=False&number=0&showbyline=False&subtitle=&detect=&abc=abc

La santé selon la région

http://www.cyberpresse.ca/article/20070117/CPOPINIONS/70117149/5290/CPOPINIONS

La santé selon la région

Olivier Kaestlé

Trois-Rivières


Depuis le décès de son médecin il y a plus de quatre ans, une Trifluvienne de 90 ans s’est retrouvée sans docteur, comme plusieurs résidents de la Mauricie. N’étant inscrite à aucune clinique sans rendez-vous, elle est « condamnée » à se rendre à l’urgence du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières, de plus en plus le dernier recours des laissés pour compte. L’attente y dure fréquemment jusqu’à 12 heures et plus. Il y a six mois, épuisée, elle a renoncé à voir l’urgentologue, après avoir poiroté pendant dix heures. Une infirmière l’avait informée qu’elle devrait patienter encore de trois à quatre heures.

De leur côté, des parents à elle vivant en banlieue de Montréal se disent très satisfaits de l’accessibilité aux soins de santé dispensés au centre-ville métropolitain. Leur médecin est disponible dans un délai d’une semaine ou moins à des cliniques sans rendez-vous où l’attente ne dépasse pas une heure. La fille de notre nonagénaire traînait quant à elle une infection nécessitant une mammographie depuis des semaines. Sa cousine montréalaise lui a obtenu un rendez-vous en moins de cinq jours.

Ceux qui redoutent l’avènement d’une médecine à deux vitesses pourront voir dans ces exemples un motif supplémentaire d’inquiétude. Ils révèlent une tendance lourde qui ne se limite plus qu’à la problématique connue des régions éloignées. Des données du MSSS confirment que la Mauricie vit la plus forte pénurie de médecins per capita avec ses 80 omnipraticiens et 61 spécialistes par 100 000 habitants devant des moyennes provinciales à 94 omnipraticiens et 94 spécialistes. De son côté, la métropole québécoise se situe clairement au dessus des moyennes avec 100 omnipraticiens et 175 spécialistes par 100 000 habitants.


Comment admettre pareilles fluctuations quand notre gouvernement prétend vouloir préserver l’universalité des soins de santé ? Avant d’être menacée par le privé, leur accessibilité semble déjà compromise par d’importantes disparités régionales. Notre système de santé, qui représente la dépense la plus élevée de l’État québécois, continue à s’éroder bon an, mal an, qu’importe le parti au pouvoir. Les coupures draconiennes des transferts aux provinces, qui avaient placé le péquiste Jean Rochon devant des choix déchirants dès 1995, n’épargnent pas pour autant le fédéraliste Philippe Couillard.

Même l’OMC avait semoncé les libéraux fédéraux en 2005 pour avoir sans cesse sous-estimé leurs revenus. Les surplus étant consacrés intégralement à la dette, la santé pouvait attendre. Après avoir dénoncé énergiquement le déséquilibre fiscal, Stephen Harper prépare de son côté les provinces à ne pas souffler leurs prévisions budgétaires. Sensible aux questions de santé, le NPD ne voit pas pour autant augmenter les intentions de vote à son égard. Stéphane Dion a maintenu quant à lui du bout des lèvres son refus de reconnaître le déséquilibre fiscal. Malgré l’absence de candidats déterminants, il faudra se rappeler son attitude avant de voter pour un parti aussi indifférent à la santé de ses concitoyens qu’il était étranger à l’éthique en gestion des fonds publics.

Philippe Couillard fait son bilan

Philippe Couillard fait son bilan: "Philippe Couillard fait son bilan

Le député de Mont-Royal et ministre de la Santé, Philippe Couillard, a reçu les médias locaux dans son bureau de circonscription, vendredi dernier, histoire de faire un retour sur la dernière année, ainsi que sur le premier mandat du gouvernement libéral. (Photo: Geneviève Allard) Philippe Couillard fait son bilan
En présence des médias locaux, vendredi dernier, le député provincial de Mont-Royal, Philippe Couillard, a fait un retour sur les accomplissements du gouvernement québécois durant son premier mandat.
À l’aube du déclenchement officiel de la campagne électorale, M. Couillard a qualifié ce bilan d’«exercice annuel». Pour le ministre de la Santé et des Services sociaux, les actions à Mont-Royal ont été diverses.

Que ce soit le projet d’agrandissement de l’école Dunrae Gardens, l’éventuelle rénovation de la piscine Pierre-Laporte ou l’ébauche d’une maison de la culture, le représentant de Mont-Royal à Québec garde l’œil ouvert sur les initiatives de la municipalité.

Dans le cas des demandes de financement pour la piscine et la maison de la culture, M. Couillard attend toujours une décision du ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Jean-Marc Fournier , ainsi que de la ministre de la Culture et des Communications, Line Beauchamp, qui sont en charge des dossiers.

«Il faut voir si le projet se qualifie et si oui, quel est le pourcentage de financement disponible. Je suis là pour aider la population, mais il faudra toutefois que les résidants décident», dit-il en faisant référence à l’éventuelle construction d’une maison de la culture, sujet qui divise la population de Mont-Royal.

En ce qui concerne la gestion de l’agglomération, Philippe Couillard soutient être à l’écoute des revendications de Mont-Royal et des recommandations de la mairesse, Vera Danyluk. «La structure est complexe et il y a de l’insatisfaction dans ce dossier, reconnaît-il, mais je transmets toujours l’information à Nathalie Normandeau [ministre des Affaires municipales].»

M. Couillard mentionne qu’une structure du style de celle de l’agglomération est nécessaire, mais pourrait être plus souple. Le député libéral dit aussi s’être entretenu avec des représentants du secteur Glenmount, qui souhaiteraient voir leur quartier réintégrer Ville de Mont-Royal plutôt que de demeurer au sein de l’arrondissement Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce. «L’initiative doit venir de Mont-Royal», fait-il savoir.
Un regard global
Pour Phillippe Couillard, le bilan du gouvernement est positif, même si le travail n’est pas terminé. Parmi les grands accomplissements de l’équipe libérale, il souligne l’augmentation de la cote de crédit du Québec, de même que le règlement du dossier de l’équité salariale.

M. Couillard indique en outre que le taux de chômage est à son plus bas niveau en 30 ans, et que 50 000 personnes de moins sont bénéficiaires de l’aide sociale depuis le début du mandat des libéraux à l’Assemblée nationale.
«Notre priorité demeure toujours la santé, et en deuxième l’éducation», rappelle-t-il, avant de confirmer qu’il sera de nouveau candidat aux prochaines élections provinciales.