Nous avons un gros probleme qui traine depuis des années les dentistes spécialistes pour enfants.. pedodontistes..... Il ne peuvent traiter dans des delais medicalement requis les enfants a cause des quotas.
Couillard a juste a leur permettent de travailler dans un parallelle public et privé et le tour est jouer ... au lieu de 3 mois on tomberais a 3 semaines... imaginez un enfants qui a des abces dans sa petite bouche qui pleure, qui ne peut plus manger, qui en vient a faire de l'anémie des infections de sang, cela peut meme causer la mort. Couillard pris d'une bonne idée dit qu'il va prioriser ces services a l'hopital... a l'hopital on pourras traiter 3 enfants par jour alors qu'en clinique privé on en traite 8 par jour alors les listes ne feront que s'allonger ... en ce moment nous avons 18 mois d'attente dans les 2 grands hopitaux....
le plus CON dans son histoire c'est que la machine pour prendre les radiologies de la bouche a Ste-Justine est brisée depuis la Mi-Janvier,,, on s'en va ou avec un ministre aussi deconecter de la réalité!
28 mars 2007
22 mars 2007
J'aimerais que quelqu'un m'explique!
M.Charest nous annonce qu'il va réduire TOUTES les listes d'attente a 6 mois au cours de son prochain mandat.
Comment va-t-il s'y prendre pour les soins dentaires en pédodontisterie qui sont a plus de 18 mois dans les 2 grands hopitaux pour enfants?
Comment va-t-il s'y prendre pour retenir les pédodontistes (dentistes spécialistes pour enfants)de se desengager du regime public?...
En ce moment les dentistes ne peuvent continuer a travailler avec ces baremes fixés avec le ministere de la santé ... après maintes tentatives durant les 4 dernieres années pour avoir 1 rencontre la présidente de l'association des chirurgiens dentistes du Québec s'est fait répondre qu'il n'y a pas de problemes! VOUS AVEZ JUSTE A SURCHARGER LES CLIENTS QUI PAIENT!
M.Charest quand les médecins se désengagent du systeme public ... les hopitaux se vident!!!... qui va soigner les gens? qui va enseigner aux étudiants?
Moi je ne vois qu'une réponse c'est que VOUS MENTEZ ENCORE UNE FOIS!!
Mais cette fois nous serons pas dupes... au québec nous avons une devise
JE ME SOUVIENS!
Je vote ADQ ,équipe Mario Dumont.
Comment va-t-il s'y prendre pour les soins dentaires en pédodontisterie qui sont a plus de 18 mois dans les 2 grands hopitaux pour enfants?
Comment va-t-il s'y prendre pour retenir les pédodontistes (dentistes spécialistes pour enfants)de se desengager du regime public?...
En ce moment les dentistes ne peuvent continuer a travailler avec ces baremes fixés avec le ministere de la santé ... après maintes tentatives durant les 4 dernieres années pour avoir 1 rencontre la présidente de l'association des chirurgiens dentistes du Québec s'est fait répondre qu'il n'y a pas de problemes! VOUS AVEZ JUSTE A SURCHARGER LES CLIENTS QUI PAIENT!
M.Charest quand les médecins se désengagent du systeme public ... les hopitaux se vident!!!... qui va soigner les gens? qui va enseigner aux étudiants?
Moi je ne vois qu'une réponse c'est que VOUS MENTEZ ENCORE UNE FOIS!!
Mais cette fois nous serons pas dupes... au québec nous avons une devise
JE ME SOUVIENS!
Je vote ADQ ,équipe Mario Dumont.
Libellés :
Charest,
ÉLECTION,
soins dentaires
15 mars 2007
Dumont dit vouloir mettre fin à l'hypocrisie du système
ACTUALITÉS
Santé
Dumont dit vouloir mettre fin à l'hypocrisie du système
Jocelyne Richer
Presse Canadienne (PC) 15/03/2007 14h53
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont
© PC
Un gouvernement adéquiste mettrait fin à «l'hypocrisie» du système de santé et faciliterait les choses pour les patients prêts à payer pour obtenir des soins.
C'est ce qu'a rappelé ce matin le chef de l'Action démocratique, Mario Dumont, lors d'une entrevue à l'animateur Paul Arcand, sur les ondes du 98,5.
Le système actuel est le pire des deux mondes, selon lui, parce qu'il prétend être gratuit et public, tout en laissant «entrer le privé par la porte d'en arrière».
«Les gens qui le veulent et qui peuvent payer vont laisser la place aux suivants sur les listes d'attente», a-t-il ajouté, rappelant qu'il favorisait un système mixte privé-public.
La réaction de M. Dumont survient au moment où on apprend qu'une entreprise propose à ses clients, en échange d'une somme d'au moins 290 $, d'éviter les listes d'attente en leur trouvant un rendez-vous avec un médecin spécialiste en 72 heures.
Le programme de l'ADQ préconise que les patients puissent avoir accès à des cliniques privées, s'ils sont prêts à payer, «tant et aussi longtemps qu'on exige des médecins qu'ils fassent leur pratique publique en priorité», a dit M. Dumont.
Avec un gouvernement adéquiste, les médecins n'auraient donc pas à se désaffilier du système d'assurance-maladie pour pratiquer dans une clinique privée, comme c'est le cas actuellement.
11 mars 2007
Charest se fait contredire par son député
Charest se fait contredire par son député
Sylvain Larocque
Presse Canadienne
Sherbrooke
Le chef libéral Jean Charest s'est fait ramener à la dure réalité du terrain, dimanche, quand son député rebelle Pierre Paradis l'a contredit sur le bilan du gouvernement en matière de santé.
À l'occasion d'un brunch dans la circonscription de M. Charest, M. Paradis a aussi laissé entendre que devant la montée de l'Action démocratique, le Parti libéral devait répondre plus directement aux attentes des nationalistes.
«Quand vous regardez notre bulletin de santé, les gens savent que nous avons fait du bon travail, mais peut-être pas aussi bon que nous le prétendons», a lâché le député de Brome-Missisquoi devant des journalistes.
Pour illustrer son constat, Pierre Paradis a soutenu qu'aux urgences de l'hôpital Brome-Missisquoi-Perkins, en Montérégie, il y avait en moyenne 20 patients sur civières en 2003 et qu'il y en a aujourd'hui 15. M. Paradis a estimé que la situation s'était tout simplement «stabilisée», saluant néanmoins l'«effort surhumain» du ministre de la Santé, Philippe Couillard.
«Vous ne pouvez pas dire aux gens que le problème a été réglé, a-t-il estimé. Je peux dire aux gens qu'il a cessé de se détériorer et qu'il s'est amélioré un petit peu. Les gens veulent entendre la vérité.»
Il s'agit d'une critique directe du message central de M. Charest durant cette campagne, à savoir que les libéraux ont «redressé» le système de santé, même si beaucoup de travail reste à faire.
En conférence de presse, le chef libéral a refusé de commenter directement les propos de Pierre Paradis, se contentant de répéter que son gouvernement avait réduit certaines listes d'attente, «mis le système en réseau» et créé deux nouvelles facultés de médecine. Il a soutenu que son parti était le seul à faire du dossier sa priorité.
«On a un bilan impressionnant en santé et on a fait tout ce qui est humainement possible pour pouvoir redresser la situation», a-t-il affirmé aux côtés de plusieurs députés des Cantons-de-l'est et de la Montérégie, sauf M. Paradis.
Jean Charest martèle ce message dans presque tous ces discours, ce qui ne soulève jamais l'enthousiasme des foules, y compris chez les fervents libéraux, contrairement à d'autres sujets.
Preuve de l'animosité qui existe entre le clan Charest et M. Paradis, des officiels libéraux ont pris la peine de téléphoner à l'hôpital de Brome-Missisquoi, dimanche après-midi, afin de vérifier la véracité de ses informations. Résultat: selon le PLQ, il y avait dimanche 14 patients sur civières aux urgences de l'hôpital alors que la capacité est de 16 personnes.
«Sur la priorité de la santé, mon équipe s'entend parfaitement», a juré le chef libéral.
Nationalistes
Pierre Paradis s'est aussi permis, dimanche, de suggérer que M. Charest se rapproche des nationalistes tentés par l'ADQ et le Parti québécois.
«Ce que je lis pour le moment sur le terrain, c'est que les gens en région sont dans certains cas des nationalistes mous ou même assez durs, donc il faut que la position du Parti libéral du Québec, si on veut les rattraper d'ici la fin de la campagne, traduise correctement les sentiments de ces gens», a commenté le député.
M. Paradis a dit qu'il ne faisait pas directement allusion aux déclarations controversées de son chef sur la partition du Québec, mais il a glissé que certains électeurs «trouvaient nos positions peut-être un petit peu plus rigides sur le plan constitutionnel». Il a salué les «mises au point» et les «clarifications» apportées récemment par le ministre Benoît Pelletier, sans préciser à quoi il faisait référence.
Là-dessus, le premier ministre a assuré que son parti avait tout pour répondre aux aspirations des nationalistes.
«Rarement dans l'histoire du Québec aura-t-on été témoins d'une période où les Québécois auront fait autant de gains à l'intérieur du système fédéral», a-t-il martelé, en parlant des accords Québec-Ottawa des dernières années, qui ont totalisé 14 milliards $ d'après lui.
Pierre Paradis et Jean Charest sont à couteaux tirés depuis que le chef libéral s'est abstenu d'inclure le député montérégien dans son cabinet, en 2003. Depuis, leurs désaccords ont été nombreux, notamment sur la privatisation d'une partie du Mont Orford.
Un autre libéral de marque, l'ancien premier ministre Daniel Johnson, a assisté au brunch de Sherbrooke. Il s'est toutefois refusé à tout commentaire sur la campagne de M. Charest.
Quelques dizaines de manifestants des milieux syndicaux et étudiants ont accueilli le chef libéral à son arrivée à l'événement de dimanche, auquel ont assisté plus de 1000 partisans, ce qui en fait la plus importante foule libérale depuis le début de la campagne.
Sylvain Larocque
Presse Canadienne
Sherbrooke
Le chef libéral Jean Charest s'est fait ramener à la dure réalité du terrain, dimanche, quand son député rebelle Pierre Paradis l'a contredit sur le bilan du gouvernement en matière de santé.
À l'occasion d'un brunch dans la circonscription de M. Charest, M. Paradis a aussi laissé entendre que devant la montée de l'Action démocratique, le Parti libéral devait répondre plus directement aux attentes des nationalistes.
«Quand vous regardez notre bulletin de santé, les gens savent que nous avons fait du bon travail, mais peut-être pas aussi bon que nous le prétendons», a lâché le député de Brome-Missisquoi devant des journalistes.
Pour illustrer son constat, Pierre Paradis a soutenu qu'aux urgences de l'hôpital Brome-Missisquoi-Perkins, en Montérégie, il y avait en moyenne 20 patients sur civières en 2003 et qu'il y en a aujourd'hui 15. M. Paradis a estimé que la situation s'était tout simplement «stabilisée», saluant néanmoins l'«effort surhumain» du ministre de la Santé, Philippe Couillard.
«Vous ne pouvez pas dire aux gens que le problème a été réglé, a-t-il estimé. Je peux dire aux gens qu'il a cessé de se détériorer et qu'il s'est amélioré un petit peu. Les gens veulent entendre la vérité.»
Il s'agit d'une critique directe du message central de M. Charest durant cette campagne, à savoir que les libéraux ont «redressé» le système de santé, même si beaucoup de travail reste à faire.
En conférence de presse, le chef libéral a refusé de commenter directement les propos de Pierre Paradis, se contentant de répéter que son gouvernement avait réduit certaines listes d'attente, «mis le système en réseau» et créé deux nouvelles facultés de médecine. Il a soutenu que son parti était le seul à faire du dossier sa priorité.
«On a un bilan impressionnant en santé et on a fait tout ce qui est humainement possible pour pouvoir redresser la situation», a-t-il affirmé aux côtés de plusieurs députés des Cantons-de-l'est et de la Montérégie, sauf M. Paradis.
Jean Charest martèle ce message dans presque tous ces discours, ce qui ne soulève jamais l'enthousiasme des foules, y compris chez les fervents libéraux, contrairement à d'autres sujets.
Preuve de l'animosité qui existe entre le clan Charest et M. Paradis, des officiels libéraux ont pris la peine de téléphoner à l'hôpital de Brome-Missisquoi, dimanche après-midi, afin de vérifier la véracité de ses informations. Résultat: selon le PLQ, il y avait dimanche 14 patients sur civières aux urgences de l'hôpital alors que la capacité est de 16 personnes.
«Sur la priorité de la santé, mon équipe s'entend parfaitement», a juré le chef libéral.
Nationalistes
Pierre Paradis s'est aussi permis, dimanche, de suggérer que M. Charest se rapproche des nationalistes tentés par l'ADQ et le Parti québécois.
«Ce que je lis pour le moment sur le terrain, c'est que les gens en région sont dans certains cas des nationalistes mous ou même assez durs, donc il faut que la position du Parti libéral du Québec, si on veut les rattraper d'ici la fin de la campagne, traduise correctement les sentiments de ces gens», a commenté le député.
M. Paradis a dit qu'il ne faisait pas directement allusion aux déclarations controversées de son chef sur la partition du Québec, mais il a glissé que certains électeurs «trouvaient nos positions peut-être un petit peu plus rigides sur le plan constitutionnel». Il a salué les «mises au point» et les «clarifications» apportées récemment par le ministre Benoît Pelletier, sans préciser à quoi il faisait référence.
Là-dessus, le premier ministre a assuré que son parti avait tout pour répondre aux aspirations des nationalistes.
«Rarement dans l'histoire du Québec aura-t-on été témoins d'une période où les Québécois auront fait autant de gains à l'intérieur du système fédéral», a-t-il martelé, en parlant des accords Québec-Ottawa des dernières années, qui ont totalisé 14 milliards $ d'après lui.
Pierre Paradis et Jean Charest sont à couteaux tirés depuis que le chef libéral s'est abstenu d'inclure le député montérégien dans son cabinet, en 2003. Depuis, leurs désaccords ont été nombreux, notamment sur la privatisation d'une partie du Mont Orford.
Un autre libéral de marque, l'ancien premier ministre Daniel Johnson, a assisté au brunch de Sherbrooke. Il s'est toutefois refusé à tout commentaire sur la campagne de M. Charest.
Quelques dizaines de manifestants des milieux syndicaux et étudiants ont accueilli le chef libéral à son arrivée à l'événement de dimanche, auquel ont assisté plus de 1000 partisans, ce qui en fait la plus importante foule libérale depuis le début de la campagne.
Libellés :
Charest,
promesse pas tenue,
soins de santé
2 mars 2007
Des dentistes menacent le régime d'assurance maladie
Des dentistes menacent le régime d'assurance maladie
Des dentistes pédiatriques menacent de quitter le régime public d'assurance maladie à la mi-mars afin de protester contre les plafonds salariaux imposés.
Les dentistes ne peuvent facturer plus de 74 000 dollars par trimestre à la Régie de l'assurance maladie. Le montant comprend les salaires ainsi que les frais médicaux.
L'Association des chirurgiens dentistes demande l'abolition des plafonds salariaux pour les dentistes.
En vidéo, écoutez le reportage de Harold Gagné.
http://lcn.canoe.com/lcn/sciencesetmedecine/sciences/archives/2007/02/20070226-204008.html
Des dentistes pédiatriques menacent de quitter le régime public d'assurance maladie à la mi-mars afin de protester contre les plafonds salariaux imposés.
Les dentistes ne peuvent facturer plus de 74 000 dollars par trimestre à la Régie de l'assurance maladie. Le montant comprend les salaires ainsi que les frais médicaux.
L'Association des chirurgiens dentistes demande l'abolition des plafonds salariaux pour les dentistes.
En vidéo, écoutez le reportage de Harold Gagné.
http://lcn.canoe.com/lcn/sciencesetmedecine/sciences/archives/2007/02/20070226-204008.html
Libellés :
Charest,
dentistes,
soins de santé
la carie dentaire cause 1 décès!
Bad toothache proves deadly for boy
Mary Otto
Washington Post
Mar. 2, 2007 04:39 PM
WASHINGTON - Twelve-year-old Deamonte Driver died of a toothache.
http://www.azcentral.com/offbeat/articles/0302dental-death02-ON.html
Mary Otto
Washington Post
Mar. 2, 2007 04:39 PM
WASHINGTON - Twelve-year-old Deamonte Driver died of a toothache.
http://www.azcentral.com/offbeat/articles/0302dental-death02-ON.html
S'abonner à :
Messages (Atom)