27 novembre 2007
archives/2007/11/20071127-091606.html
Un nouveau dossier sur les dentistes .
Vous verrez dans les liens, la crainte qui monte chez le ministre Couillard de voir les dentistes refusés la carte soleil .
Il y a deja plus de 4 ans que l'association des chirurgiens dentaire , essaient de négocier avec le gouvernement une entente.
COMMENT PEUT-IL ÊTRE SURPRIS de les voir prendre des moyens de pressions maintenant.
Je dis aux dentistes LET'S GO! je vous appuis... et j'espère que cette crainte généralisée par les parents réveillera ce peuple qui est hypnotisé par le bon Dr. couillard.
21 novembre 2007
un traitement plutot bizarre peut guerrir le c difficile .
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/11/14/004-cdifficile-fecal.shtml
Un traitement plutôt particulier, qui implique une transplantation de matière fécale humaine d'une personne à une autre, permet de guérir un grand nombre de cas d'infection au C.difficile. La technique n'est cependant utilisée que par quelques médecins au Canada.
Le Clostridium difficile est une espèce de bactérie qui se développe dans une flore intestinale affaiblie par les traitements aux antibiotiques.
Répandue dans les hôpitaux, cette bactérie a déjà causé la mort de plus de 2000 personnes depuis 2003 dans les milieux hospitaliers québécois et a également tué dans d'autres provinces.
Habituellement, le C.difficile est contrôlé par les bonnes bactéries qui se trouvent dans les intestins. Toutefois, il peut devenir problématique lorsqu'un individu est traité à l'aide d'antibiotique comme la vancomycine.
Les antibiotiques peuvent détruire les bonnes bactéries, mais laisser des traces du C.difficile, qui peut ensuite se multiplier.
Si vous détruisez les bactéries en prenant un antibiotique, et que [le C.difficile] se multiplie, il émettra une toxine qui causera des diarrhées sévères. — Dr. Mike Silverman, interniste |
Cette diarrhée peut devenir chronique et entraîner la mort.
La technique novatrice développée en Scandinavie permet de traiter le C.difficile. Elle est de plus en plus utilisée aux États-Unis.
Les études montrent que cette technique appelée thérapie fécale peut guérir plus de 90 % des patients, et ce, après un traitement dans la plupart des cas.
La plupart des médecins canadiens hésitent toutefois à utiliser cette technique pour des raisons d'hygiène. |
Le Dr Tom Louie, responsable du contrôle des infections à l'hôpital Foothills de Calgary, est l'un des rares médecins qui procèdent à la transplantation fécale. Il a sauvé 38 personnes jusqu'à présent.
Les donneurs, habituellement de proches parents, doivent fournir des excréments pendant plusieurs jours. Après des tests du VIH et d'hépatite, le médecin les mélange avec une solution saline puis les introduit dans l'intestin de la personne atteinte.
Le médecin affirme que la technique permet aux bonnes bactéries de se réimplanter et de restaurer les fonctions intestinales normales.
Cela m'a guérie. — Marcia Munro, résidente de Toronto |
Mme Munro a pu compter sur un don fécal de sa soeur après avoir combattu le C.difficile pendant 14 mois.
La patiente accepte aujourd'hui de parler de sa guérison bien que cette technique puisse rebuter certains médecins. Elle affirme avoir été sauvée et espère que les médecins seront plus nombreux à procéder à l'intervention.
20 octobre 2007
A person who has had limited or no dental health throughout their life may also end up with diseases such as gingivitis as well as severe cavities and rotting teeth. While the teeth may affect their appearance gum diseases can lead to complications in other health care concerns. Plaque is made up of colonies of bacteria and poor oral hygiene allows the bacteria to grow and infect other parts of the body. It is also a major contributor to bad breath.
While bad breath is often attributed to poor dental health, it is not the only cause. Food, such as onions, is digested and put into the blood stream. As the blood returns to the lungs to be re-oxygenated, it puts the odor of the food back into the lungs where it is released as bad breath. This also happens to others such as smokers and no amount of brushing, flossing or scraping of the tongue will eliminate this source of bad breath.
Oral Hygiene Is Big Business
Taking care of the teeth is so important to most people and the country spends over $3 billion a year on dental health products such as toothpaste, toothbrushes, dental floss and tongue scrapers as well as breath mints and gum. While many will spend hundred of dental health products, they shy away from trip to the dentists and have a feeling of pain before they enter the dentist’s office.
In part, dentists may be to blame for some of the reluctance of people to seek professional help with their dental health. Previously, many dentists were judgmental in their approach with patients, which made them feel even more uncomfortable than the actual work being done. Today’s non-judgmental approach to dentistry is having a positive effect on good dental health.
15 octobre 2007
2007/10/20071010-104838.html
Pour tous ceux qui veulent un accès plus rapide a des soins de santé.
( http://chaoulli.com/Default.aspx?Lang=fr )
Dr. Jacques Chaoulli débutait le mercredi 10 octobre dernier ses activités.
Le goupe Chaoulli offrira a ses membres d'avoir un meilleur accès pour des consultations, des procédures diagnostiques, thérapeutiques et chirurgicales.
8 septembre 2007
un brin de reflexion ;-)
Tu peux avoir une pizza à ta maison plus vite qu'une ambulance ?Les gens commandent un double cheeseburger, des grosses frites et un coke light ?
Les femmes ne peuvent se mettre du mascara la bouche fermée ?
Le mot "abréviation" est si long ?
Le jus de citron est fait de saveurs artificielles et le liquide à vaisselle est fait de vrais citrons?
Il n'y a pas de nourriture pour chat à saveur de souris ?
La nourriture pour chien est "nouvelle avec un goût amélioré" Qui l'a testée ?
Ils stérilisent l'aiguille qui sert à l'euthanasie ?
Quand on étrangle un Schtroumpf, il devient de quelle couleur ?
Comment les panneaux " Défense de marcher sur la pelouse " arrivent-ils au milieu de celle-ci ?
Quand l'homme a découvert que la vache donnait du lait, que cherchait-il exactement à faire à ce moment-là ?
Si un mot dans le dictionnaire est mal écrit, comment s'en apercevra-t-on ?
Ce couillon de Noé n'a-t-il pas écrasé les deux moustiques ?
"séparés" s'écrit-il en un mot, alors que "tous ensemble" s'écrit en deux mots séparés ?
Je veux acheter un boomerang neuf Comment puis-je me débarrasser de l'ancien ?
Les établissements ouverts 24 heures sur 24 ont-ils des serrures et des verrous ?
pris sur l'espace canoe de Françcois Massicotte par bebitte27
19 août 2007
Et ben... parce qu'on fait moins d'enfants qu'a une certaine époque et que la population est de plus en plus vieillissante. Cela veut dire que nous devons avoir plus de travailleur et plus d'enfants ou plus d'immigration.
Plus d'immigration , oui mais pas a n'importe quel prix.
LES ENJEUX
L'enjeu démographique
Dans ma région on peut compter près de 46% des familles vivant de l'aide sociale et cela est surement comparable a d'autre région, il serait préférable d'investir pour un retour au travail de ce potentiel de main-d'œuvre.
Je note aussi un taux de fécondité estimé a 1.5 ... des politiques familiales
serait tout aussi bénéfiques, avec un accroissement d'accès a la propriété .... car
en logement c'est pas évident de penser a avoir plus de 2 enfants. On note aussi
que des immigrants qui avaient comme généralités d'avoir plusieurs enfants dans
leur pays d'origine se découragent d'en avoir plusieurs une fois rendus ici.
en résumé un accroissement de politiques familiales et de réinsertion sur le
marché du travail aurait le même effet qu'un accroissement de l'immigration.
L'enjeu économique
Le chômage est très peu élevé chez les immigrants.... Ils vont souvent acceptés
des postes de commis ,qui ne se rapprochent en rien de leurs compétences
acquises dans leurs pays d'origine.
Exemple: un biochimiste , commis de dépanneur
une infirmière , commis de dépanneur
un mathématicien , commis au Wall-Mart
une enseignante de français, en formation pour garder des enfants
une ingénieur , a la recherche d'emploi
un médecin , chauffeur de taxi
Tous ceux énumérés font partis de mon quotidien, et ils sont plusieurs a ne pas
pouvoir pratiquer leur profession d'origine , souvent dus a nos ordes
professionnels et de discrimination.
L'enjeu linguistique
La commission sur la discrimination et le racisme a fait ressortir que ce qui
préoccupe le plus l'immigrant n'est pas d'apprendre une nouvelle langue mais
bien de trouver un emploi afin de subvenir a ses besoins essentiels , de
logement nourriture et vêtements,c'est seulement une fois ces besoins comblés qu'après ils se trouvent plus disposés a apprendre une nouvelle langue.
L'enjeu de l'ouverture sur le monde
Un plus grand soutien aux organismes qui s'occupent justement de partage
culturel serait grandement souhaitable!
Ils ont vus leur soutien financier diminué de façon considérable ces dernières
années!
Notre capacité d'accueil semble avoir atteint ses limites , car plusieurs se
regroupent en ghetto a cause de l'exclusion vécus. Ce qui créé un problème de
gang de rue qui est de plus en plus florissant.
Ils arrivent au Québec remplis d'espoir et de projets, mais se rendent compte
que les circonstances sont tout autres, ( plus facile d'être
employé si on se nomme Jean Tremblay que Mohamed Akar).
Nous aurions tout avantage a intégrer pleinement ceux qui sont déjà ici plutôt que
d'augmenter le niveau d'immigration.
Les défis en matière de gestion de l'immigration
NIVEAUX D'IMMIGRATION
Une stabilisation de l'immigration, soit 46 000 admissions en 2010 , est l'idéal selon moi.
Afin de maximiser l'intégration des arrivant , Je crois que le niveau doit être
maintenu et que l'on doit privilégier un plus grand soutien pour les politiques
familiales afin d'augmenter le niveau de fécondité qui aurait le même effet
qu'une augmentation d'immigration.
LA RÉPARTITION PAR COMPOSANTE
l'immigration de gens d'affaires
Je ne crois pas que le regroupement familiale (femme , enfants de la
population aux travail exclus).devrait être maintenue. Car plusieurs profitent
d'un accès privilégié de par un membre qui a immigré chez nous.
Une plus grande part de travailleur ouvrier ( plombier, cordonnier,ect) serait
souhaitable car une pénurie dans ces domaines est de plus en plus marquée.
Commentaires(additionnels)
Vous auriez tout avantage a vous procurez le résumé et les conclusions du
dernier colloque haïtien tenue a l'automne.
Une société qui a décidé de se prendre en main afin de réduire le phénomène de
gang de rue dus a l'exclusion et la discrimination.
Un soutien financier est tout aussi souhaitable afin de soutenir dans leur
initiatives ce type de prises en charge communautaire.
Je vous ai partagé mes réponses a la consultation publique sur le niveau d'immigration pour 2008-2010 du site de l'assemblée Nationale.
Vous avez jusqu'au 11 septembre 2007 pour donner votre opinion.
http://www.assnat.qc.ca/ sous l'onglet consultation générale en ligne.( a droite)
18 août 2007
un bon texte de Vastel
Jean Charest peut toujours se poser en champion de l'ouverture, il n'en reste pas moins que les politiques de son gouvernement - sur la langue entre autres -, et les pratiques des ordres professionnels - ceux de la santé en particulier - découragent l'immigration.
le texte complet: http://www2.canoe.com/infos/chroniques/michelvastel/
archives/2007/08/20070818-083401.html
C'est tellement bien dit que je n'y rajouterais rien!
15 août 2007
Vivement le privé en santé!
Un texte ecrit par Luce Leblanc
Vice-présidente de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux*
En période de pénurie, le recours accru au secteur privé mobilise des ressources autrement disponibles pour le secteur public. L'équation est fort simple : plus le privé est sollicité, plus les pénuries de personnel seront névralgiques dans le réseau public, dit-elle.
Moi je réponds c'est pas le détournement de personnel qui cré une pénurie de personnel , mais plutôt le fait que une fois les quotas atteint au public nos médecins ne peuvent plus pratiquer ou prendre de nouveaux patients. Pourquoi ne permettrions nous pas a un médecin qui a atteint son quotas trimestriel de travailler dans le privé par la suite?
C'est exactement ce que se propose de faire le Groupe Chaoulli (http://chaoulli.com/)
Cette initiative ne drainera en rien le système public mais utilisera les ressources médicales que nous possédons déjà a leur plein potentiel .
Savez-vous qu'il y a des médecins qui doivent prendre des congés a chaque trimestre car les quotas sont atteint?
Savez-vous que plusieurs patients voient leur opérations reportés car les médecins ont atteint leur quotas?
Savez-vous que lorsqu'un médecin atteint son quotas il ne reçoit que 35% de sa réclamation a la RAMQ.
Savez-vous combien de médecin (que nous avons formés) nous quittent pour d'autre province ou états chaque années?
Depuis 10 ans, la province accuse une perte nette de 400 médecins spécialistes
Savez-vous que les délais trop long mettent la vie des gens en danger?
Savez-vous que certaines associations de médecins qui rencontrent de graves difficultés attendent depuis plusieurs années (4 années pour l'ACDQ)pour avoir un entretien avec le ministre de la santé.
Alors, quand j'entends que l'ouverture au privé va nuire au système de santé public j'ai vraiment l'impression que ces gens ne vivent pas sur la même planète que moi.
13 août 2007
Des implants fait sur mesures
Le Soleil
Québec
Vous vous souvenez de cette scène à la fin du deuxième film de Star Wars où le jeune Jedi Luke Skywalker se fait trancher la main par Darth Vador ? Dans le vaisseau spatial, on lui reconstruit la main et une partie de l’avant-bras comme si de rien n’était. C’est cette image qu’évoque Jean Robichaud en rêvant qu’on pourra remplacer une dent dans les 48 ou 72 heures après son extraction avec un implant dentaire et une racine personnalisée qu’on remet dans la gencive sans que cela paraisse.
Avec la technologie actuelle, la pose d’implants pour des prothèses permanentes ou amovibles prend entre trois et huit mois. Et le rêve n’est pas loin de se réaliser, puisque les recherches avancent bien au Centre de recherche et formation en implantologie (CRFI) de Québec, fondé en 2000 par M. Robichaud et son partenaire, le docteur Marc Beaumier. « On devrait pouvoir commercialiser la racine dentaire personnalisée d’ici deux ou trois ans, raconte M. Robichaud. Entre-temps, nous poursuivons nos recherches autant dans le secteur médical qu’au plan informatique et robotique pour la création des implants personnalisés. »
Alors que la technologie actuelle en dentisterie et en denturologie exige des travaux manuels pour la création des prothèses et des implants, le développement informatique et l’ère du numérique permettent la robotisation d’une bonne partie des procédés pour en arriver à créer des prothèses et des implants conçus en fonction des besoins du patient. Depuis la fondation du CRFI, des équipes d’informaticiens ont mis au point les logiciels pour l’implantologie pendant que l’équipe de recherche médicale avec les deux dentistes et le technicien dentaire a continué les recherches pour vérifier de nouvelles avenues dans les méthodes. Il s’agit de l’un des rares centres en implantologie à utiliser la conception et la fabrication assistées par ordinateur (CFAO).
« Nous nous sommes interrogés sur la façon de poser les implants, souligne M. Robichaud. Il fallait voir s’il était possible d’effectuer le travail plus rapidement comme on le fait maintenant en orthopédie lors des opérations de la hanche avec la mise en charge immédiate de la prothèse qui a pour effet d’activer la croissance de l’os et l’intégration de l’implant. »
Auparavant, la pose de l’implant se faisait en deux stades : un premier où l’on installe l’implant dans la gencive en refermant la plaie, puis un second où l’on pose la prothèse fixe ou amovible. « Aujourd’hui, indique M. Robichaud, on fait une seule étape avec les implants conventionnels pendant que l’on poursuit le développement de l’implant personnalisé en forme de racine. »
Le travail de recherche s’effectue sur de « vrais » patients, mais ce ne sont pas des cobayes qu’on laisse en plan, précise M. Robichaud. « Nous ne les traitons pas en cobayes, nous les traitons comme de vrais patients et nous assurons un suivi régulier. Lorsqu’il y a des cas difficiles, c’est en équipe que nous tentons de trouver une solution. Notre plus grande richesse, c’est le mélange de nos expertises. » Toutefois, il ne s’agit pas d’une clinique dentaire, mais bel et bien d’un centre de recherche orienté vers la technologie des implants dentaires.
19 juillet 2007
LCN - National - Une majorité de Québécois prêts à une incursion du privé
Pour une majorité le privé en santé est la bonne alternative pour un systeme de santé qui coute de plus en plus cher et que ne reponds plus au besoin sans cesse croissant de la population.
15 juin 2007
Couillard le menteur!
PAR JOCELYNE RICHER
QUEBEC (PC) - Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a induit en erreur l'Assemblée nationale, mardi, en prétendant avoir visité un centre de traitement pour psychotiques où il n'a, en fait, jamais mis les pieds.
Ce faisant, il a jeté de l'huile sur le feu et accru le climat de tension déjà élevé entre le gouvernement et Le 388, une ressource en santé mentale de Québec menacée de fermeture.
Une des coordonnatrices du centre, Lucie Cantin, estime que la déclaration du ministre en Chambre s'inscrit dans toute une "série de mensonges" que le ministre et les autorités gouvernementales ont proférés au cours des derniers jours dans le dossier du 388.
"Je n'en reviens pas!", a-t-elle déclaré, se montrant "estomaquée" par l'attitude du ministre Couillard, lors d'une entrevue téléphonique à la Presse Canadienne, mercredi.
"On ne peut pas laisser les gens dire n'importe quoi. Il n'est jamais venu ici", a soutenu Mme Cantin, d'autant plus choquée que Le 388, qui lutte depuis 2002 pour sa survie, a multiplié depuis des années des demandes de rencontres avec le ministre, qui sont toutes restées lettre morte.
Mardi, en réponse à une question de la députée de Taschereau, Agnès Maltais, quant au sort réservé au 388 par le gouvernement, le ministre Couillard s'est levé pour affirmer qu'il connaissait bien cette ressource pour jeunes adultes psychotiques, qui bénéficient d'un traitement basé sur la psychanalyse.
"Je suis moi-même allé visiter le centre. Il s'y fait effectivement du bon travail", a-t-il déclaré en Chambre.
Mercredi, questionnée à savoir à quel moment le ministre s'y était rendu, sa porte-parole a vérifié puis expliqué que le ministre s'était "trompé".
Il a confondu Le 388 avec le Faubourg Saint-Jean, une autre ressource en santé mentale de Québec, qu'il a visitée en compagnie du directeur du Centre hospitalier Robert-Giffard, Michel Gervais, a-t-elle expliqué.
Le ministre n'a d'ailleurs aucun projet à court terme de visiter ce centre, plongé au coeur d'une controverse avec Robert-Giffard, auquel il est rattaché contre son gré.
Par ailleurs, la nomination d'un conciliateur chargé de rapprocher les deux parties se fait toujours attendre.
Encore là, du côté du 388, les attentes sont plus que modestes.
"C'est une grosse farce", selon Mme Cantin, persuadée que les dés sont pipés.
"Ils sont tous dans la même clique", a-t-elle ajouté, en parlant du ministre Couillard, du directeur de Robert-Giffard et du directeur de l'Agence de la santé et des services sociaux de la capitale nationale, Michel Fontaine, à qui incombe le mandat de trouver un conciliateur, qui doit, en principe remettre un rapport d'ici le 30 juin.
Mme Cantin dénonce le manque de sérieux de la démarche, se demandant bien comment, en quelques jours, un conciliateur pourrait arriver à dénouer une impasse qui dure depuis au moins cinq ans.
Déjà, en 2002, un groupe d'experts, mandaté par le ministère de la Santé, en était venu à la conclusion que les positions - et les approches cliniques - étaient "irréconciliables". Il proposait de séparer les deux institutions.
Vu la particularité de sa mission, Le 388 revendique un statut d'établissement privé sans but lucratif.
"Intégrer Le 388 à Robert-Giffard équivaut à le démanteler", selon elle.
La direction estime que Robert-Giffard a pris divers moyens - déclassification des professionnels, absence de budget pour rénover le bâtiment - pour le démanteler de l'intérieur.
"C'est du harcèlement", ajoute-t-elle.
Le centre, qui accueille une centaine de jeunes adultes psychotiques de la région de Québec, a développé une approche novatrice basée sur la psychanalyse plutôt que la psychiatrie traditionnelle.
http://info.branchez-vous.com/Nationales/070613/N0613198U.html
12 juin 2007
les préposés aux bénificiaires
http://espace.canoe.ca/jean298/blog/
Je suis un grand admirateur de Pierre Foglia. Ses papiers portent tous à réflexion. "La caméra pas cachée" est celui qui m'a touché droit au coeur. J'occupe un poste de préposé aux bénéficiares (PAB) depuis 24 ans dans un établissement du réseau de la santé. Je suis aussi impliqué syndicalement depuis 18 ans. Je suis donc a même de constater tous les aspects que comporte ce "job" qui est en fait une vocation. Comment rester insensible à la souffrance de mes semblables? Comment faire afin de continuer a donner mon 100% malgré les contraintes budgétaires imposées par les divers gouvernements? Comment dois-je réagir lorsque certains médias sensationalistes ne montrent que les mauvais côtés de mon métier? Il y a des jours ou j'ai envie de tout foutre en l'air, mais je suis toujours là. Pourquoi? Parce-que contrairement aux gestionnaires de carrière mes yeux voient la détresse et la dépendance dans le regard des patients. Et que dire des sourires et des remerciements que m'offrent ces mêmes patients? Eux qui me demandent: "Mais comment faite- vous pour courrir ainsi?" Ou encore: "Vous êtes patient, vous!" Oui c'est vrai je suis ainsi, c'est moi et j'en suis fier. Il est vrai que certaines personnes ne cadrent pas dans ce décor qui demande patience et compassion. Mais croyez-moi ils sont minoritaires. Le pire ennemi de la personne hospitalisée est nul autre que le gouvernement lui-même. Le réseau de la santé et le personnel qui le compose n'est pas rentable. Que fait-on à Québec? On coupe le plus possible. Ou? Dans tous les services. On coupe à l'entretien ménager, à la cuisine, aux soins-infirmiers mais rarement sinon jamais les postes cadres. Certaines personnes détentrices de postes cadres justifient leur généreux salaires en comptant les couches, en sermonnant un membre du personnel s'il utilise trop de gants ou s'il ose manger un repas qu'il vont jeter de toute façon. Les priorités sont-elles au bons endroits? Qu'en pensez-vous? Les gouvernements se succèdent et ne font que blâmer leurs prédécesseurs pour la pénurie de personnel, les listes d'attente, les civières de plus en plus nombreuses dans les corridors. Pendant qu'ils se chamaillent nous tenons ce foutu réseau à bout de bras depuis des décénnies. Que fait-on afin de nous remercier? On nous impose, via une loi spéciale adoptée sous-baîllon, nos conditions de travail et salariales jusqu'en 2010! Belle façon de nous motiver, non? On nous répète sans cesse que notre population est viellissante. On forme un comité de ci, on fait une étude de çela, mais finalement on ne fait que parler et nos ainés eux pendant ce temps se multiplient à vue d'oeil. Y aura t-il un jour un homme ou une femme politique qui réalisera que les personnes travaillant dans les CLSC, hôpitaux, CHSLD, centres de réadaptation ainsi qu'en résidences privées ne sont pas en usine mais dispensent des soins éssentiels à des êtres humains? Si vous connaissez cette personne donnez moi son nom, ça presse, car ella aura mon vote, c'est certain!
Repondez lui sur son blog !
La bataille d'une grand-mère
Une autre histoire qui me touche.
Une grand-maman de 60 ans qui fait des démarches afin d'avoir la garde de sa petite-fille , qui est en centre d'accueil . Vous me voyez venir... la cr... de DPJ.
Cette dame a déménagée de son modeste 3et demi dans un 4 et demi afin d'avoir une chambre supplémentaire dans le but d'accueillir sa petite-fille chez elle. Une intervenante vient voir les lieux et dit c'est petit ici!
Allez vous etre assez sévère afin de pouvoir éduquer votre petite-fille...
elle est pas en centre pour la délinquance mais a cause de sa mère qui est malheureusement tombée dans la drogue!.... alors c'est quoi le problème avec la jeune fille???? de plus elle n'a jamais rencontrée la jeune en question.
De plus elle dit a la grand-mère vous avez été accusée il y a de cela 23 ans , mais vous avez été acquittée, j'aimerais savoir de quoi vous avez été accusée!
Je pourrais être accusée de n'importe quoi , si je suis acquittée je ne suis pas coupable... alors c'est quoi de chercher des bibittes comme cela!
Moi je dis que le pouvoir de la DPJ est parfois mal utilisé. Je n'exclue pas qu'il y a des enfants que l'on se doit absolument d'aider.
Mais une jeune fille que sa mère a laissée en centre et que sa grand-mère veut bien prendre chez elle, alors pourquoi chercher des bibittes et ne pas plutôt laisser la famille se réunir et donner une meilleure chance a cette jeune fille qui croupi depuis 3 ans en centre.
Moi je dis... ont a eus les enfants de Duplessis, maintenant on a les enfants de la DPJ
11 juin 2007
FEMMES attention aux bouteilles de plastique
This is how Sheryl Crow got breast cancer. She was on
the Ellen show and said this same exact thing.
So please be very careful ladies.
Importance: High
Drinking Bottled Water Kept in Car
....a friend whose mother was recently diagnosed with
breast cancer.
The doctor told her: women should not drink bottled water
that has been left in a car. The doctor said that the heat
and the plastic of the bottle have certain chemicals that can
lead to breast cancer.
So please be careful and
do not drink bottled water that has been left in a car,
and pass this on to all the women in your life. This information
we need to know and be aware and just might save us!!!!
The heat causes toxins from the plastic
to leak into the water and they have found these toxins
in breast tissue.
Use a stainless steel Canteen or a glass bottle when you can!!!
6 juin 2007
avis de recherche
IMPORTANT A FAIRE CIRCULER
Afin de venir en aide à une famille si inquiète.
Bonjour, la mère , de Marie-Andrée Bergeron ainsi que la famille est épuisée et brisée par l'inquiétude. Elle vous demande de bien vouloir accepter de faire circuler la photo de MARIE-ANDRÉE BERGERON afin que la recherche puisse rapidement faire le tour du Québec. Merci à tous les volontaires souhaitant venir en aide à sa famille.
Si vous avez des informations veuillez communiquer avec la Sureté du Québec.
UN GROS MERCI
3 juin 2007
coeurs sensibles s'abstenir!
Mon conjoint a été victime d'un acte criminel, voici les grandes lignes du dossier de mon conjoint Alain auprès de IVAC.
Il a été victime d'un acte criminel (tentative de meurtre en recevant 22 coups de couteau) le 21 juin 2005,il a subit des blessures physique tel blessure a la mâchoire coté gauche, avec séquelle permanente au dos (vertèbres L-4 et L-5 et disque du milieu) sans compté les blessures psychologique. Il a du appliquer a IVAC pour indemnité pour les victimes. Depuis le début de son dossier, il y a eu plusieurs erreur, on a demander une copie du dossier pour se préparer a une révision de décisions dans son dossier. On nous a envoyer par erreur 2 copies de documents appartenant a 2 autres victimes d'actes criminel, on a refuser l'aspect des blessures physique a mon conjoint baser sur un diagnostic qui appartient a une autre victime. Il y a plus de 7 agents chez IVAC qui on passer dans le dossier. Nous avons été bloqué par IVAC car il on dit que mon conjoint avait eu des propos menaçant envers un employé de IVAC, ils ont envoyés une mise en demeure en nous avisant que mon conjoint n'a plus le droit de communiquer par téléphone ni même en personne par voie de mise en demeure. En agissant de la sorte, il on bloqué mon conjoint et cela nous complique l'existence. J'avais une autorisation a parler dans le dossier, mais ils ne veulent pas me parler a moi non plus, sous prétexte que mon conjoint va écouter sur l'autre ligne. Il prenne des mesures inacceptables et injuste, la personne visée dans la mise en demeure, c'est mon conjoint et non pas moi. Nous avons demander assistance au bureau de Jean Charest, premier ministre, il se sont envoyé la balle, personne ne voulais s'occuper de ce dossier car c'était la période d'élection, et c'était un dossier brulant, une patate chaude... et il avait peur que ça se retrouve dans les médias. Nous avons demander assistance a Benoit Pelletier région de l'Outaouais, mais rien n'a été fait de concret, nous avons aussi écrit au ministre Marcoux qui nous referait a s'en remettre dans les mains de IVAC, ministre Dupuis, ministre Couillard, mais toujours des refus. Nous avons finalement tomber sur le député de Chicoutimi monsieur Bédard du parti Québecois qui est critique en justice et qui lui a fait un contact avec le ministre Marcoux et questionner a savoir pourquoi et savoir quel seront les démarches faite pour régler et indemniser la victime, rétablir les paiements des médicaments, reconnaitre les blessures physique reliés a l'évènement et non des blessures appartenant a d'autre victimes, de remédier a l'aspect sur les mesures de protections des renseignements confidentiel. Monsieur le ministre a nommer une personne pour s'occuper du dossier auprès de la CSST, mais malheureusement, il a été question de nous faire que des excuses, aucun changement de position pour les erreurs de diagnostic que IVAC on fait. Aucun rétablissement des paiements de médicaments, aucun changement de position de reconnaitre les blessures subit. Nous demandons que IVAC reconnaisse les blessures physique qu'il refuse d'admettre, de rétablir l'aide personnel et le cout des médicaments qu'il on suspendu a cause de la décision qui on prit. Nous avons du faire une demande d'opposition a la décision au tribunal administratif (TAQ) mais pourquoi devoir s'en remettre au TAQ qui prendra peut-être 2 ou 3 ans a régler alors qu'on voit clairement les erreurs qu'il on fait ? Avant de se rendre au TAQ, nous avons fait opposition a la décision qui avait été rendu, nous avons du envoyé plus de 150 pages de preuve a un réviseur qui a été nommé pour rendre une nouvelle décision, nous avons fait affaire avec Droit d'accès de l'Outaouais qui est un organisme a but non lucratif qui vient en aide au personne qui on des problèmes psychologique et mental pour se défendre pour finir par se faire dire que IVAC avait raison d'avoir prit les décision qu'il avait prit. Le réviseur qui travaille pour IVAC dans sa décision parle du refus de la blessure a la cheville (qui appartient a une autre victime) c'est donc dire qu'il n'a pas étudié les 150 pages de preuves que nous avons fournit. Nous avons fournit tout ces documents avec 7 volets. Il y a plusieurs professionnel de la santé d'impliquer dans ce dossier comme 2 orthopédiste différent 1 de Gatineau et 1 autre de Ottawa, un médecin de famille, un chirurgie maxillo-facial, un psychologue et même leur médecin psychiatre de Laval, qui a fournit une expertise demandé par IVAC qui va dans le même sens. Même le corps policiers qui a écrit une lettre pour confirmer les dires a propos des menaces, balle tiré dans la vitre chez ma fille, sans compter toutes les menaces reçus soit par téléphone, intimidation en personne, crever les pneus de ma voiture, lettre de menace coller dans mon pare-brise, briser mon pare-brise, graffigner nos véhicules etc... Nous avons toutes les preuves a l'appui de ce que nous disons. Nous avons fait une entrevue avec Pierre-Jean Seguin de CHOT-TV de l'Outaouais, mais cela reste regional, nous estimons que le grand public devrait savoir de comment cela se passe chez IVAC, que rien de sérieux est fait pour préserver nos renseignements confidentiel.
M.Dumont comme vous etes dans l'opposition officielle maintenant, nous estimons que vous serez les gens qui pourrons contribuer a régler les problèmes dans ce dossier volumineux de IVAC.
IL EST GRAND TEMPS QUE CETTE LOI VIEILLE DE 32 ANS SOIT AMENDÉE, CELA EST UNE INJUSTICE FLAGRANTE POUR LES VICTIMES, comme les dossiers du fils de Mme Baril a Montréal qui a été poignardé a montréal, M. Boisvenu qui a perdu sa fille qui a été tuée et combien d'autre que nous avons entendu parler.
Les argents qui sont saisie par les criminels, ou va t'elle, ne serait pas censé d'être redistribué vers les victimes qui souvent leurs vies est brisé pour avoir été victimes ? Beaucoup de professionnel disent que cela est une situation qui est inacceptable d'être d'abord victime d'un acte criminel, pour ensuite devenir victime du système de IVAC...???
Merci.
31 mai 2007
tague!
« Chaque personne décrit sept choses à propos d’elle-même. Ceux qui ont été «tagués» doivent écrire sur leurs blogues ces sept choses ainsi que ce règlement. Vous devez «taguer» sept autres personnes et les énumérer sur votre blogue. Vous laissez alors sur les blogues de ceux que vous souhaitez «taguer» un commentaire leur indiquant qu’ils ont été «tagués» et les intimant à lire votre blogue. »
Alors je me lance...
1- Né a Montréal , d'un père mineur (Montwright), qui a laissé sa vie il y a 30 sur le chemin du travail à Fermont, dans un accident de voiture dû à la vitesse.
2-Militante adéquiste, J'aimerais bien siéger a l'assemblée nationale.
3-Je m'intéresse à la pauvreté,les sans-abris, l'immigration et ses ratés, la prostitution juvénile, la santé avec l'instauration du privé bien entendu! j'appuie Chaoulli et la fluoration de l'eau pour Montréal.
4-J'écoute sur XM172 la talk radio de Jean-François Plante.
5-J'écoute aussi le canal de l'assemblée.... pis en reprise sur le site de l'assemblée en cas de besoin.
6-J'adore la moto, le camping sur le bord d'une plage, le chocolat, et mes 5 enfants.
7-J'ai très peu de tolérance pour l'alcool et les imbéciles.
voici mes 7 victimes
David Chrétien http://davidchretien.blogspot.com/
http://huntingdon.over-blog.com/ le maire Gendron
http://monopinion.blogspot.com/ Lawrence
http://www.cyberpresse.ca/article/20070531/CPBLOGUES14/70531214&nocache=1 Patrick Lagacé
http://simonvincent.blogspot.com/
http://www.radioxtrm.com/
http://funnycatpics.blogspot.com/ pour ma faiblesse pour les chats
26 mai 2007
Les médecins étrangers au Québec Un jour, l'histoire vous jugera durement
La lecture de vos déclarations dans les journaux, au cours des derniers jours, choque royalement les communautés culturelles du Québec et les Québécois. En effet, le débat suscité au Québec par les accommodements raisonnables et le corporatisme de plusieurs ordres professionnels, dont le vôtre, montrent éloquemment que le Québec ne tire pas le maximum des immigrants qui sont venus y vivre. Vous partagez une responsabilité à cet égard. Un jour, l'histoire vous jugera durement!
Par ailleurs, vous savez pertinemment que la majorité des médecins étrangers, qui conduisent des taxis, à Montréal, sont compétents. La situation est grave. À ce sujet, il y a des médecins diplômés dans les pays occidentaux, notamment la France, la Belgique, qui ne peuvent pas exercer leur profession ici.
Par contre, les médecins québécois qui vont pratiquer en Afrique ne rencontrent pas cette résistance corporatiste irrationnelle et inhumaine. Un gynécologue, un obstétricien, un ophtalmologue, un pédiatre, un chirurgien, un anesthésiste... est un médecin spécialiste, peu importe son origine, le corps humain étant le même. Un stage d'adaptation à la technologie et aux maladies spécifiques est bien entendu nécessaire et utile.
Rappelez-vous que vos «médecins sans frontières» et vos «médecins du monde» ne connaissent pas les maladies tropicales, pour ne citer que cet exemple, et, en outre, qu'ils ont un obstacle de taille : ils ne connaissent pas la langue parlée par leurs patients! Si j'étais avocat, je n'hésiterais pas de dire qu'il est criminel de laisser mourir nos soeurs et frères humains québécois, pour vos intérêts corporatistes, plutôt que de les laisser être soignés par des médecins étrangers! La même logique vaut pour les infirmiers et infirmières étrangers qui, dans certains de nos pays, posaient même des actes médicaux, fait sur lequel les vôtres sont sérieusement en retard. Vous préférez gardez vos malades dans les corridors, intérêts corporatistes obligent !
Vos déclarations belliqueuses nous ont aidés
Par ailleurs, j'aimerais vous remercier. Vos déclarations belliqueuses dans les médias nous ont aidés à nous prendre en main. Ainsi, nous avons décidé de fonder un groupe de pression. Il s'agit du FDBR Lobby Group Inc. C'est un groupe de représentation des intérêts. Il s'agit d'une organisation non partisane. À l'heure actuelle, nous avons des représentants à Québec, à Montréal, à Toronto, à New York, à Londres, à Bruxelles et à Abidjan.
Notre groupe est unique en son genre. D'une part, il est le premier lobby dédié à l'analyse des problèmes économiques des Québécois d'origine africaine et à la recherche des solutions optimales à l'extrême pauvreté qui affecte les Québécois. D'autre part, il s'appuie, plus que jamais, sur la création d'une synergie entre professionnels disponibles sur le terrain dans les pays africains et ceux de l'extérieur de l'Afrique intéressés par l'avancement économique de ce continent.
L'objectif premier du lobby est de faire les représentations auprès des décideurs politiques et économiques afin de les éveiller, entre autres, à l'expertise académique, ignorée, des chauffeurs de taxi et des médecins diplômés à l'extérieur du Canada. Curieusement, le politicien qui nous écoute avec respect est Mario Dumont!
En vous remerciant, j'aimerais vous rappeler que nous sommes tous immigrants ici. Il est donc temps de construire le Québec ensemble. C'est le message que les Québécois ont envoyé aux leaders politiques le 26 mars dernier. Mario Dumont l'a compris. Par contre, le Parti québécois et le Parti libéral n'ont pas encore compris ce message. Vous devez donc vous réveiller et permettre aux immigrants de toutes les origines de contribuer à la construction de ce beau pays qu'est le Québec.
*L'auteur est conseiller stratégique du FDBR Lobby Group Inc.
Il est également professeur de science politique au Centre d'études collégiales de Montmagny et il a été conseiller à l'intervention nationale à l'Office des personnes handicapées du Québec. Il pilotait les dossiers relatifs aux accommodements raisonnables
15 mai 2007
L’urgence de Maisonneuve-Rosemont: lieu propice à l’éclosion d’infections nosocomiales
(Copie d’une lettre ouverte adressée au ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard)
Monsieur le ministre,
Les journaux de fin de semaine rapportent que vous êtes fatigué d’être politiquement incommodé par les problèmes d’infections nosocomiales, telle la C difficile, qui ne cessent de surgir dans nos hôpitaux. Face à cette situation désagréable, vous avez donc incité fortement les membres de l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux, réunis en congrès il y a quelques jours, à accentuer leurs efforts pour rendre les hôpitaux plus propres en faisant «laver les murs, les plafonds et les planchers» de leurs établissements.
Un récent séjour comme patient à l’urgence de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, de Montréal, m’a cependant démontré, qu’au délà de la propreté des locaux, les conditions dans lesquelles sont hospitalisés - souvent durant plusieurs jours - la plupart des patients qui y sont admis constituent un terrain on ne peut plus fertile pour le développement de telles infections.
Les plus à plaindre sont certes les nombreux patients qui doivent séjourner sur des civières installées le long des corridors de l’urgence, un endroit parfois bruyant et balayé de forts courants d’air où circulent sans arrêt durant la journée les employés de l’hôpital comme les visiteurs de l’extérieur. Ne jouissant d’aucune intimité, dépourvus de services sanitaires à proximité, ces derniers, parqués comme du bétail, constituent une illustration saisissante de ce qu’on peut s’imaginer quand on parle de médecine de guerre. On se croirait dans le Tiers-Monde!
Heureusement, je n’ai séjourné que quelques heures dans le corridor. On m’a transporté dans une grande salle, appelée l‘annexe, pouvant accueillir quelque 25 patienta allongés sur des civières isolées par des rideaux. Cette salle est toujours bondée. Là, on a droit aux services d’infirmières souvent débordées; d’où leur haut taux de roulement.
Un séjour à l’annexe est certes préférable au corridor, mais c’est loin d’être satisfaisant pour un malade en phase aiguë. Il n’y a qu’une toilette et aucun endroit pour se laver, pas de chaises non plus pour accueillir les proches qui se présentent à votre chevet. Là, sont regroupés, pêle-mêle, des personnes affectées des maladies les plus diverses. Il y a aussi des mourants et surtout des patients dont l’urgence sert de porte d’entrée pour accéder à un établissement de soins prolongés. Plusieurs de ces derniers ont l’esprit dérangé et perturbent le sommeil des autres.
Pendant mon séjour dans ce capharnaüm, du 6 au 9 mai, ma voisine de gauche est décédée après trois jours d’agonie. N’aurait-on pu lui trouver une chambre pour qu’elle vive ses derniers moments dans la dignité ? Est-ce acceptable qu’au Québec en 2007 une salle d’urgence serve comme mouroir? Une de mes cousines était aussi décédée dans la même urgence, il y a quelques années, après plus d’une semaine d’hospitalisation.
Quant à ma voisine de droite, une dame de 87 ans très lucide, elle était hospitalisée depuis une semaine pour une pneumonie. On l’a d’abord reléguée dans le corridor où elle était en proie aux courants d’air. Puis on l’a mise en isolement pour vérifier si elle avait la C difficile. Au bout de cinq jours, on l’a retournée dans le corridor. Elle a dû faire venir un responsable et plaider vigoureusement sa cause pour pouvoir être transférée à l’annexe. Drôle de façon de remercier une personne qui avait fait bénéficier l’hôpital de ses activités de bénévolat pendant sept ans!
Il me fait toutefois plaisir de souligner que j’ai reçu des soins de qualité et que le personnel était dévoué. En somme, mon expérience m’a permis de constater que, lors de la phase initiale du séjour qui dure trop longtemps, les soins sont dispensés dans un environnement gravement déficient, ce qui est loin de faciliter une éventuelle guérison. Un manque d’accessibilité chronique, particulièrement dans les grands hôpitaux montréalais où les lits ne sont pas assez nombreux ou ne sont pas libérés assez vite une fois les soins aigus terminés, est probablement à la source de cette situation déplorable qui perdure depuis de trop nombreuses années.
Monsieur le ministre, je ne vous ai probablement rien appris de nouveau, mais il fallait que je témoigne de la détresse et de la souffrance dont j’ai été le témoin lors de mon récent séjour à l’urgence de Maisonneuve-Rosemont. J’espère que ce témoignage contribuera à ce que dans la bureaucratie de notre système de santé on cesse enfin de considérer comme inévitable une situation proprement inacceptable. Les citoyens qui sont passés par là, eux, ne comprennent pas cette attitude fataliste qui dénote un très faible niveau de compassion. Certains comme moi en sont même indignés.
L’ex-occupant de la civière no 76,
Paul Cliche
Pris sur le blog :
http://www.latribuduverbe.com/archives/
2007/05/lurgence_de_maisonneuverosemon.html
9 mai 2007
Pour s'inscrire au groupe Chaoulli
le Groupe Chaoulli rendra accessible à ses membres des consultations avec des
médecins omnipraticiens et avec des spécialistes, des procédures diagnostiques
et des chirurgies, qui seront non couverts par le régime public
d'assurance-maladie, et délivrés par des médecins participants au régime
public, et utilisera tous les moyens légaux possibles pour faciliter l'accès à
des services couverts par le régime public et à des services délivrés par des
médecins non participants au régime public.
Le www.chaoulli.com accepte déjà les inscriptions, mais le service ne débutera qu'au cours de l'été. Pour être membre, il faudra payer un tarif annuel de 40 $. Les clients qui choisiront la voie du privé rencontreront des médecins qui s'engagent «à ne pas diminuer leurs volumes d'activités à financement public», assure le Dr Chaoulli.( si vous éprouvez de la difficulté entrez chaoulli.com directement dans la barre d'adresse)
8 mai 2007
La classe moyenne aura accès à des services de santé privés accessibles
santé est une question qui regarde toutes les Québécoises et tous les
Québécois. Cela doit être débattu de façon ouverte et transparente. Or, la
passivité du gouvernement à cet égard risque de placer la société québécoise
devant un fait accompli. "Le docteur Chaoulli va jusqu'à réclamer de la
transparence aux hôpitaux où il référera ses clients, notamment à l'égard des
moyens pris pour combattre les infections nosocomiales. C'est un véritable
ministère parallèle qu'il nous propose, constate Denise Boucher. La ligne
entre le privé et le public n'a jamais été aussi mince et floue. Il est grand
temps que le ministre Couillard sonne la fin de la récréation et pose des
balises claires."
Que faudra-t-il comme débandade au système public pour que le ministre de la Santé et des Services sociaux Philippe Couillard se rende compte qu'il a commis une bourde dans sa réponse à l'arrêt de la Cour suprême et qu'il doit reculer dès maintenant,
avant qu'il ne soit trop tard, en abrogeant la loi 33", poursuit Mme Chabot.
http://www.newswire.ca/fr/releases/
archive/May2007/07/c5960.html
Mais sincèrement je ne crois pas que le ministre Couillard a ce qu'il faut pour régler le privé ,il s'est refusé à considérer de façon objective, le jugement Chaoulli.
http://www.newswire.ca/fr/releases/
archive/May2007/07/c5560.html
La classe moyenne aura accès à des services de santé privés accessibles jusqu'à
présent aux VIPs promet maintenant Chaoulli.
7 mai 2007
L'affaire Plante ... l'integral
Vous voulez connaitre la vrai histoire sur Jean-françois Plante, ex-candidat adéquiste.
Cessez de vous fiez a ce que les ministres libéral peu informées ont bien voulus laissez croire a la population, ALLEZ écouter par vous-mêmes et faites vous votre propre idée.
N'oubliez pas d'aller voir les liens.
J'attend vos commantaires.
4 mai 2007
Dumont a ouvert un débat utile
http://www.cyberpresse.ca/article/20070501/
CPSOLEIL/70501235/6584/CPSOLEIL
3 mai 2007
Faites votre job plutot que vous occupez de l'executif de l'ADQ
IL est la voix de la raison plus souvent que les médias veulent bien le laisser croire,n'en déplaise a plusieurs.
Quand il dit; ok la violence faite aux femmes , mais la violence faite aux hommes ça on en parle pas.... Non , c'est sur la violence faite aux hommes c'est dur a avaler et ça prend du courage pour un homme de dénoncer qu'il est victime de violence!... Mais ça existe bel et bien!
Lorsqu'il était conseiller municipal la violence aux hommes est le genre de dossier qu'il défendait.
Plante a un franc parler,une qualité rare de nos jours et j'espère que l'on continuera a l'entendre dévoiler nos absurdités.
Quand aux féministes libéral frustrée, ditent vous bien que si vous penser attirée l'électorat féminin de cette façon vous vous mettez un doigt dans l'oeil!
Occupez vous de vos dossier , et appliquez vous a régler l'environnement et la santé qui est votre... supposer être... votre priorité, sans oublier d'appliquer les mesures comptables recommandées par le vérificateur général depuis si longtemps.
La province se portera mieux. http://www.cyberpresse.ca/article/20070502/CPACTUALITES/70502113/1019/CPACTUALITES&nocache=1
28 avril 2007
les obligations internationales du Canada relatives aux droits et libertés des enfants.
Le Comité sénatorial permanent des droits de la personne a remis son rapport final sur les obligations internationales du Canada relatives aux droits et libertés des enfants.
Dans ce rapport, intitulé Les enfants: des citoyens sans voix, les sénateurs s'inquiètent des droits des enfants au Canada.
Absence de représentation
Dans un premier temps, ils donnent un aperçu de la Convention relative aux droits de l'enfant, de l'ONU. Puis, le comité souligne que les gouvernements tiennent rarement compte du point de vue des enfants, même s'ils forment l'un des groupes les plus touchés par leur action.
Ils vont plus loin en écrivant: « Les enfants ne sont pas simplement sous-représentés, ils ne sont pratiquement pas représentés du tout. » Finalement, ils constatent un écart entre le discours sur les droits et la réalité de la vie des enfants.
Le Comité continue son analyse en constatant que l'approche d'Ottawa à l'égard des droits des enfants et de la Convention est insatisfaisante. Il énumère cinq facteurs qui démontrent que l'application de la Convention est inefficace dans le contexte canadien:
la complexité des diverses compétences;
l'absence d'institutions efficaces;
l'incertitude entourant l'application des mesures législatives sur les droits de la personne;
le manque de transparence;
le peu d'engagements politiques.
24 recommandations au gouvernement fédéral
Les sénateurs font 24 recommandations au gouvernement fédéral, sur des questions comme la participation et l'expression, les châtiments corporels, l'intimidation, la violence dirigée contre les enfants, etc.
Le Comité recommande, notamment, à Ottawa de:
affecter des ressources pour que les points de vue des enfants soient véritablement pris en compte dans l'examen ou la mise en oeuvre de lois, politiques et autres décisions qui ont d'importantes répercussions dans leur vie;
mettre en oeuvre une stratégie nationale de lutte contre l'intimidation prévoyant une campagne d'éducation nationale organisée en collaboration avec les gouvernements provinciaux et territoriaux;
informer la communauté internationale, le Parlement et la population canadienne de ce qu'il fait pour combattre la violence à l'endroit des enfants;
élaborer et mettre en oeuvre une stratégie pour combattre l'exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales;
organiser des consultations fédérales-provinciales-territoriales sur la protection de l'enfance et sur les enfants pris en charge par l'État.
Pas seulement le gouvernement
Le comité poursuit en affirmant que la Convention relative aux droits de l'enfant n'occupe pas une place solide au sein des lois, des politiques et de la conscience collective au Canada.
C'est pourquoi il préconise deux mesures:
l'établissement d'un groupe de travail interministériel chargé de coordonner et de surveiller les lois et les politiques fédérales qui ont une incidence sur les droits des enfants;
la création d'un poste indépendant de commissaire aux enfants chargé de surveiller l'application des droits des enfants à l'échelle fédérale.
Enfin, le comité propose un cadre pour améliorer le processus par lequel le Canada ratifiera et intègrera ses obligations internationales relatives aux droits de la personne.
Les enfants: des citoyens sans voix
La culture de camouflage de Couillard.
http://www.radio-canada.ca/actualite/zone_libre/2007/04/27/001-ste-justine_accueil.asp
Les commentaires d'Eric Caire porte-parole de l'opposition officielle en matière de santé
Bactérie pseudomonase à l'Hôpital Sainte-Justine: « Le ministre Couillard doit mettre fin à la culture de camouflage et de résignation dans le système de santé au Québec » Éric Caire
2007.04.27
Québec, 27 avril 2007) Le critique de l'Opposition officielle en matière de santé, monsieur Éric Caire, a fortement dénoncé la culture de camouflage et de résignation entretenue dans le système de santé par le ministre de la santé, Philippe Couillard. Le député adéquiste s'est questionné sur le rôle que le ministre de la Santé aurait dû jouer dans l'affaire des cas d'infection à la bactérie pseudomonase à l'hôpital Ste-Justine en 2004. « Le ministre était-il au courant de l'affaire ? Et s'il l'était, pourquoi n'en a-t-il pas informé la population ? Depuis 2003, le ministre entretient le flou et manque complètement de transparence envers les Québécois. Les citoyens soulèvent des questions et des inquiétudes légitimes mais Philippe Couillard ne semble pas s'en préoccuper. »
Suite à l'infection de plus de 50 nouveaux-nés et au décès de 6 d'entre eux à cause de la bactérie pseudomonase à l'hôpital Ste-Justine entre 2004 et 2005, Éric Caire s'est indigné de voir s'accumuler les cas de décès dus à l'insalubrité dans les hôpitaux québécois.
Éric Caire a sommé le ministre Couillard de mettre fin au camouflage et d'informer les Québécois sur l'état pitoyable des infrastructures en santé. « Le ministre Couillard entretient la méfiance et l'inquiétude en camouflant l'état réel de nos hôpitaux. Les cas d'infection dus à l'insalubrité s'accumulent et ça ne semble pas inquiéter le ministre qui se comporte comme si tout était sous contrôle. Il devra agir de façon responsable envers les Québécois. Même les parents des jeunes victimes de Sainte-Justine n'ont pas été informés de la cause du décès de leur enfant. Si ce n'est pas une culture de camouflage qui s'est installée dans le système, je me demande bien ce que c'est. »
Rappelant l'excellent travail déployé par le personnel de la santé à Ste-Justine comme dans tous les hôpitaux québécois, le député adéquiste a tout de même tenu à rappeler les nombreux cas d'infection qui se sont déclarés partout au Québec depuis 2004 tels les infections au C. difficile dans des dizaines d'hôpitaux et les conditions sanitaires dans les foyers pour personnes âgées.
23 avril 2007
Le Commissaire à la santé et au bien-être
Le Commissaire à la santé et au bien-être amorce une grande tournée
Patrice Bergeron
Presse Canadienne
Montréal
Le nouveau Commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois, amorcera en mai une grande tournée du Québec pour prendre le pouls du système de santé et inviter les citoyens à participer au Forum de consultation rattaché à son organisme.
Dans une entrevue à la Presse Canadienne en marge du congrès de l'Association médicale du Québec (AMQ) à Montréal samedi matin, le titulaire de la nouvelle fonction, M. Salois a expliqué qu'il veut tout de suite «se camper dans les préoccupations des citoyens» et présenter un rapport dès cette année, même si la loi ne l'y oblige pas avant 2008.
Il a toutefois indiqué que son organisme n'était pas la panacée, ni une «caserne de pompiers», qu'il n'allait pas «réinventer le système» et décider à la place du ministre, ou encore effectuer les traitements.
«Le système de santé est un immense paquebot (...) qui navigue très, très bien en mer, mais qui a de la difficulté à entrer et à sortir d'un port, et le commissaire est un petit «tugboat», un petit bateau de touage, comme plusieurs autres, qui vont aider le système à pouvoir y aller», a imagé M. Salois au cours de son discours devant les médecins de l'AMQ, dans un hôtel montréalais.
À compter de mai jusqu'en juillet, le commissaire et son équipe rencontreront les représentants du milieu de la santé dans les 18 régions du Québec et inviteront les citoyens à présenter leur candidature pour siéger au forum de consultation rattaché à l'organisme.
Le forum sera composé d'un citoyen par région, pour un total de 18, en plus de neuf professionnels possédant une expertise en santé et services sociaux. La nouvelle instance sera invitée à se prononcer sur des questions soumises par le commissaire et apportera un regard neuf sur des enjeux. Son mandat sera de trois ans.
«Actuellement, les débats sur le système de santé se font dans les journaux et, quand il y a une décision à prendre, eh bien, c'est soit la cour ou le médecin qui doit décider», a soulevé le commissaire à propos de l'importance de l'instance de délibération.
«Mais si la population donnait des directives par rapport à sa qualité de vie, aux soins de santé, probablement que ça enlèverait beaucoup de pression sur le corps médical et sur les décideurs.»
Il a fait remarquer qu'il fallait aussi changer le comportement du citoyen, responsable et «actionnaire» d'un système qui lui coûte 43 cents par dollar d'impôt.
Instauré en août 2006, le commissariat remplace le Conseil médical du Québec et du Conseil de la santé et du bien-être. Autrefois président de l'Ordre des dentistes et de la Fédération canadienne des ordres professionnels, M. Salois dispose d'un budget d'environ 2 millions $ et de 17 employés, soit la somme des deux anciens organismes, pour évaluer le système de santé, consulter et informer les citoyens, de même que formuler des recommandations.
Questionné plus tôt par des médecins sceptiques sur l'apport de son organisme, le commissaire a souligné en entrevue que, contrairement à une entreprise qui dispose d'un portrait de sa situation, le système de santé ne bénéficie pas d'«un lieu où on fait une analyse globale, où on prend un recul pour regarder le système».
Il a aussi assuré de son indépendance par rapport au ministre de la Santé, Philippe Couillard, même si c'est lui qui l'a nommé pour un mandat de cinq ans, en vertu des recommandations d'un comité.
Le premier rapport annuel n'était prévu que pour 2008 selon la loi, mais M. Salois a tenu à en déposer un dès cette année pour faire état de son rôle et de ses modalités.
Par ailleurs, le site Internet du commissaire comportera aussi bientôt des fiches de renseignements sur de grands enjeux du système, par exemple sur la question du ticket modérateur.
Le congrès de deux jours de l'AMQ se terminait samedi. L'association qui dit regrouper 9000 médecins et étudiants en médecine a discuté des expériences d'autres systèmes de santé en vue d'en appliquer les réussites à l'échelle locale.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070421/CPACTUALITES/70421039/1015/CPACTUEL
13 avril 2007
alerte a la carie
La présidente de cette coalition, la Dre Stephane Schwartz, soutient que jusqu'à 47 % des enfants montréalais en âge de fréquenter la maternelle ont 14 caries ou plus. Le temps d'attente atteint 18 mois pour le traitement des caries graves à la clinique de l'Hôpital de Montréal pour enfants.
Mme Schwartz ne comprend pas pourquoi la Ville de Montréal n'a pas retenu la recommandation formelle que lui a faite, en juin dernier, le directeur de la santé publique de Montréal pour la mise en place d'un programme de fluoration de l'eau potable. Elle soutient que cela « diminuerait le taux de caries de façon significative ».
La coalition soutient que la fluoration de l'eau potable aide la dent qui se forme dans la bouche des enfants à devenir plus imperméable aux bactéries qui causent la carie. Si rien n'est fait à court terme, la coalition songe à déposer une plainte formelle à la Commission des droits de la personne contre la Ville de Montréal, ou à demander aux tribunaux de forcer la ville à appliquer la recommandation du directeur de la santé publique.
En bref
La Coalition de Montréal pour des dents en santé est une initiative de l'Hôpital de Montréal pour enfants. Elle compte 1000 membres et est appuyée par plusieurs organisations, dont l'Association des pédiatres du Québec, l'Ordre des dentistes du Québec, le Collège des médecins du Québec et l'Organisation mondial de la santé.
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/04/11/003-fluorisation-dent-carie.shtmlale
Avril est le Mois national de la santé buccodentaire
[La santé buccodentaire pour vivre en santé]
Même si la bouche fait partie du corps, on a tendance à les dissocier. On ignore souvent les saignements ou les gencives sensibles, alors qu’une irritation ou une douleur ailleurs dans le corps conduirait à une visite chez le médecin.
Cependant, les problèmes de santé buccodentaire peuvent être le signe de problèmes plus graves. Des recherches ont démontré qu’il y a un lien entre les maladies buccodentaires et d’autres problèmes de santé comme le diabète et certains types de pneumonies. Il pourrait même y avoir une corrélation entre les maladies buccodentaires et d’autres problèmes de santé comme les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que les naissances prématurées et l'insuffisance de poids à la naissance.
Même si l’utilisation de la soie dentaire ne peut vous garantir une bonne santé à vie, en maintenant une bonne santé buccodentaire vous contribuez à entretenir une hygiène de vie plus saine. Voici d’autres habitudes saines que vous pouvez adopter pour maintenir un mode de vie sain : mangez équilibré, examinez votre bouche régulièrement pour détecter tout signe de maladie de gencive, ne fumez pas et surtout, consultez votre dentiste régulièrement.
Tout ce qui se passe dans votre bouche a un effet sur votre corps, c’est pourquoi il est très important de consulter votre dentiste régulièrement. Seul votre dentiste possède la formation, les compétences et le savoir-faire pour répondre de manière appropriée à tous vos besoins en matière de santé buccodentaire.
Pour avoir un sourire sain, un corps sain et réduire le risque de maladies buccodentaires, suivez les cinq recommandations de l’ADC.
consultez le site : http://www.cda-adc.ca/fr/cda/news_events/health_month/index.asp
3 avril 2007
mettre fin au monopole public en santé
Éminence grise de l'ADQ, le Dr Stephen Morgan fera le saut en politique fédérale avec les conservateurs
L'architecte de la position de l'Action démocratique du Québec en faveur du privé en santé, le Dr Stephen Morgan, s'apprête à faire le saut en politique fédérale avec les conservateurs. Son objectif: modifier la Loi canadienne de la santé afin de mettre fin au monopole public.
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Le Dr Morgan a confirmé au Devoir que le Parti conservateur lui a proposé de briguer les suffrages sous sa bannière lors des prochaines élections. L'aventure intéresse celui qui se décrit comme «un homme de devoir». «Pour moi, ce qui est important, c'est que les idées que j'ai toujours défendues aillent de l'avant. Et si on m'a approché, c'est parce qu'on connaît mes idées. D'ailleurs, plusieurs des conseillers de M. Harper sont des adéquistes avec qui j'ai travaillé en 2002», explique le Dr Morgan.
Stephen Morgan est un ardent défenseur d'un changement en profondeur du système de santé. Devant le puits sans fond que sont devenus les services de santé au Québec (la santé accapare annuellement 43 % du budget provincial), mais aussi dans tout le pays, le Dr Morgan estime qu'il est temps de mettre fin à l'«hypocrisie».
«Le système canadien a besoin d'être adapté. C'est essentiel. Mais le problème avec la loi canadienne sur la santé, c'est qu'elle a une valeur identitaire et qu'il y a une religion anti-privé. Il y a aussi la crainte de l'ogre américain. Il faut trouver un juste milieu qui ressemble à ce que les pays européens ont réussi», soutient-il.
En 2002, le Dr Morgan a participé aux travaux de réflexion sur la santé au sein de l'ADQ, ce qui avait mené à la présentation d'un rapport intitulé En santé autrement. Il était même présenté comme le ministre de la Santé d'un éventuel gouvernement de l'ADQ. À l'approche des élections générales, il avait décidé de ne pas monter dans le train adéquiste.
Les adversaires péquistes et libéraux n'avaient pas tardé à prendre d'assaut l'ADQ et les changements proposés, n'hésitant pas à démoniser le chef Mario Dumont. La débâcle électorale de l'ADQ six mois plus tard avait forcé par la suite Mario Dumont à revoir ses propositions. Au cours de la récente campagne électorale, le chef adéquiste n'a pas présenté un plan d'action aussi précis qu'il y a quatre ans, se limitant à promettre l'ouverture de cliniques privées pour régler le problème des patients en attente d'une chirurgie. Il a toutefois réitéré sa vision d'un système mixte de santé.
Pour Stephen Morgan, l'importante percée de l'ADQ la semaine dernière «réhabilite une vision de la droite». Cela ouvre la porte à une contribution accrue du secteur privé, qui s'additionnerait aux services publics en place. Mais encore faut-il que l'ADQ forme le prochain gouvernement. «Je suis content parce que Mario Dumont est dans l'antichambre du pouvoir. Il a besoin d'à peu près deux ans pour se préparer», croit le Dr Morgan qui ajoute: «Être de droite, ce n'est pas être mesquin, ce n'est pas manquer d'empathie. C'est d'abord responsabiliser les individus. Mais aussi la décentralisation des pouvoirs».
C'est donc dans cet esprit que le Dr Morgan aborde la possibilité d'être candidat conservateur. Au cours des dernières semaines, deux dirigeants du Parti conservateur (PCC) ont communiqué avec lui, dont l'organisateur en chef pour le Québec, Pierre Coulombe. Au PCC, on refuse de confirmer ou d'infirmer les approches faites auprès du Dr Morgan; on se borne à dire que le travail de recrutement va bon train.
Un «vent nouveau»
Stephen Morgan est associé à l'heure actuelle à Santé Canada. Auparavant, le Dr Morgan qui est spécialisé en chirurgie, a travaillé à l'hôpital Saint-Luc. Il a également été directeur général de l'hôpital de Lachine. Dans la jeune soixantaine, il souhaite profiter du «vent nouveau» qui souffle sur les relations fédérales-provinciales depuis que Stephen Harper est premier ministre du Canada.
Selon lui, la loi canadienne de la santé est «trop rigide»; la présence des conservateurs est une occasion de l'assouplir. Du même coup, le gouvernement Harper pourrait concentrer ses activités en santé là où ses compétences sont requises (la santé animale, les épidémies potentielles et leurs conséquence sur le commerce international, par exemple). «Le rôle d'un gouvernement fédéral en santé, c'est d'abord de s'occuper de ses oignons. La loi canadienne de la santé balise l'aide fédérale en santé. Et elle est étouffante, elle est excessive», explique le Dr Morgan.
Il n'est pas question de se satisfaire de la loi 33 qui permet des chirurgies dans le secteur privé pour les genoux, les hanches et les cataractes. Pour le Dr Morgan, le ministre de la Santé, Philippe Couillard, «a accouché d'une souris». «Le jugement Chaoulli, c'est une opportunité perdue parce qu'on pouvait ouvrir au privé de façon équilibrée. En se limitant à trois chirurgies, c'est l'aggravation de l'hypocrisie», soutient le Dr Morgan.
Un système de santé mixte où se croisent public et privé permettrait un contrôle des prix et le contrôle de la qualité d'une industrie aujourd'hui souterraine, croit-il. «C'est le "free for all". Le seul contrôle, c'est la loi du marché», assure-t-il.
Ce dernier prône notamment la mise en place d'un ticket modérateur, afin de freiner la surutilisation des services de santé. Déjà, il y a quatre ans, le Dr Morgan défendait l'idée selon laquelle l'accès aux médecins spécialistes devrait être payant à moins que le patient ne soit envoyé par un omnipraticien. Aux yeux du Dr Morgan, il est impensable qu'un pédiatre fasse de la vaccination ou que des parents se rendent aux urgences avec leur bébé fiévreux à cause d'une otite. Il suggère que l'on attribue davantage de responsabilités aux infirmières. «J'ai fait de la médecine pendant trente ans, 80 % de ce qui se présente dans une salle d'urgence, peut être réglé en 5-10 minutes par une infirmière», affirme le Dr Morgan.
Si le Dr Morgan décide de se lancer en politique fédérale, ce sera pour défendre ces idées. Et l'enthousiasme ne semble pas lui faire défaut.
Source: http://www.ledevoir.com/2007/04/03/138038.html
28 mars 2007
Couillard déconnecté de la réalité
Couillard a juste a leur permettent de travailler dans un parallelle public et privé et le tour est jouer ... au lieu de 3 mois on tomberais a 3 semaines... imaginez un enfants qui a des abces dans sa petite bouche qui pleure, qui ne peut plus manger, qui en vient a faire de l'anémie des infections de sang, cela peut meme causer la mort. Couillard pris d'une bonne idée dit qu'il va prioriser ces services a l'hopital... a l'hopital on pourras traiter 3 enfants par jour alors qu'en clinique privé on en traite 8 par jour alors les listes ne feront que s'allonger ... en ce moment nous avons 18 mois d'attente dans les 2 grands hopitaux....
le plus CON dans son histoire c'est que la machine pour prendre les radiologies de la bouche a Ste-Justine est brisée depuis la Mi-Janvier,,, on s'en va ou avec un ministre aussi deconecter de la réalité!
22 mars 2007
J'aimerais que quelqu'un m'explique!
Comment va-t-il s'y prendre pour les soins dentaires en pédodontisterie qui sont a plus de 18 mois dans les 2 grands hopitaux pour enfants?
Comment va-t-il s'y prendre pour retenir les pédodontistes (dentistes spécialistes pour enfants)de se desengager du regime public?...
En ce moment les dentistes ne peuvent continuer a travailler avec ces baremes fixés avec le ministere de la santé ... après maintes tentatives durant les 4 dernieres années pour avoir 1 rencontre la présidente de l'association des chirurgiens dentistes du Québec s'est fait répondre qu'il n'y a pas de problemes! VOUS AVEZ JUSTE A SURCHARGER LES CLIENTS QUI PAIENT!
M.Charest quand les médecins se désengagent du systeme public ... les hopitaux se vident!!!... qui va soigner les gens? qui va enseigner aux étudiants?
Moi je ne vois qu'une réponse c'est que VOUS MENTEZ ENCORE UNE FOIS!!
Mais cette fois nous serons pas dupes... au québec nous avons une devise
JE ME SOUVIENS!
Je vote ADQ ,équipe Mario Dumont.
15 mars 2007
Dumont dit vouloir mettre fin à l'hypocrisie du système
ACTUALITÉS
Santé
Dumont dit vouloir mettre fin à l'hypocrisie du système
Jocelyne Richer
Presse Canadienne (PC) 15/03/2007 14h53
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont
© PC
Un gouvernement adéquiste mettrait fin à «l'hypocrisie» du système de santé et faciliterait les choses pour les patients prêts à payer pour obtenir des soins.
C'est ce qu'a rappelé ce matin le chef de l'Action démocratique, Mario Dumont, lors d'une entrevue à l'animateur Paul Arcand, sur les ondes du 98,5.
Le système actuel est le pire des deux mondes, selon lui, parce qu'il prétend être gratuit et public, tout en laissant «entrer le privé par la porte d'en arrière».
«Les gens qui le veulent et qui peuvent payer vont laisser la place aux suivants sur les listes d'attente», a-t-il ajouté, rappelant qu'il favorisait un système mixte privé-public.
La réaction de M. Dumont survient au moment où on apprend qu'une entreprise propose à ses clients, en échange d'une somme d'au moins 290 $, d'éviter les listes d'attente en leur trouvant un rendez-vous avec un médecin spécialiste en 72 heures.
Le programme de l'ADQ préconise que les patients puissent avoir accès à des cliniques privées, s'ils sont prêts à payer, «tant et aussi longtemps qu'on exige des médecins qu'ils fassent leur pratique publique en priorité», a dit M. Dumont.
Avec un gouvernement adéquiste, les médecins n'auraient donc pas à se désaffilier du système d'assurance-maladie pour pratiquer dans une clinique privée, comme c'est le cas actuellement.
11 mars 2007
Charest se fait contredire par son député
Sylvain Larocque
Presse Canadienne
Sherbrooke
Le chef libéral Jean Charest s'est fait ramener à la dure réalité du terrain, dimanche, quand son député rebelle Pierre Paradis l'a contredit sur le bilan du gouvernement en matière de santé.
À l'occasion d'un brunch dans la circonscription de M. Charest, M. Paradis a aussi laissé entendre que devant la montée de l'Action démocratique, le Parti libéral devait répondre plus directement aux attentes des nationalistes.
«Quand vous regardez notre bulletin de santé, les gens savent que nous avons fait du bon travail, mais peut-être pas aussi bon que nous le prétendons», a lâché le député de Brome-Missisquoi devant des journalistes.
Pour illustrer son constat, Pierre Paradis a soutenu qu'aux urgences de l'hôpital Brome-Missisquoi-Perkins, en Montérégie, il y avait en moyenne 20 patients sur civières en 2003 et qu'il y en a aujourd'hui 15. M. Paradis a estimé que la situation s'était tout simplement «stabilisée», saluant néanmoins l'«effort surhumain» du ministre de la Santé, Philippe Couillard.
«Vous ne pouvez pas dire aux gens que le problème a été réglé, a-t-il estimé. Je peux dire aux gens qu'il a cessé de se détériorer et qu'il s'est amélioré un petit peu. Les gens veulent entendre la vérité.»
Il s'agit d'une critique directe du message central de M. Charest durant cette campagne, à savoir que les libéraux ont «redressé» le système de santé, même si beaucoup de travail reste à faire.
En conférence de presse, le chef libéral a refusé de commenter directement les propos de Pierre Paradis, se contentant de répéter que son gouvernement avait réduit certaines listes d'attente, «mis le système en réseau» et créé deux nouvelles facultés de médecine. Il a soutenu que son parti était le seul à faire du dossier sa priorité.
«On a un bilan impressionnant en santé et on a fait tout ce qui est humainement possible pour pouvoir redresser la situation», a-t-il affirmé aux côtés de plusieurs députés des Cantons-de-l'est et de la Montérégie, sauf M. Paradis.
Jean Charest martèle ce message dans presque tous ces discours, ce qui ne soulève jamais l'enthousiasme des foules, y compris chez les fervents libéraux, contrairement à d'autres sujets.
Preuve de l'animosité qui existe entre le clan Charest et M. Paradis, des officiels libéraux ont pris la peine de téléphoner à l'hôpital de Brome-Missisquoi, dimanche après-midi, afin de vérifier la véracité de ses informations. Résultat: selon le PLQ, il y avait dimanche 14 patients sur civières aux urgences de l'hôpital alors que la capacité est de 16 personnes.
«Sur la priorité de la santé, mon équipe s'entend parfaitement», a juré le chef libéral.
Nationalistes
Pierre Paradis s'est aussi permis, dimanche, de suggérer que M. Charest se rapproche des nationalistes tentés par l'ADQ et le Parti québécois.
«Ce que je lis pour le moment sur le terrain, c'est que les gens en région sont dans certains cas des nationalistes mous ou même assez durs, donc il faut que la position du Parti libéral du Québec, si on veut les rattraper d'ici la fin de la campagne, traduise correctement les sentiments de ces gens», a commenté le député.
M. Paradis a dit qu'il ne faisait pas directement allusion aux déclarations controversées de son chef sur la partition du Québec, mais il a glissé que certains électeurs «trouvaient nos positions peut-être un petit peu plus rigides sur le plan constitutionnel». Il a salué les «mises au point» et les «clarifications» apportées récemment par le ministre Benoît Pelletier, sans préciser à quoi il faisait référence.
Là-dessus, le premier ministre a assuré que son parti avait tout pour répondre aux aspirations des nationalistes.
«Rarement dans l'histoire du Québec aura-t-on été témoins d'une période où les Québécois auront fait autant de gains à l'intérieur du système fédéral», a-t-il martelé, en parlant des accords Québec-Ottawa des dernières années, qui ont totalisé 14 milliards $ d'après lui.
Pierre Paradis et Jean Charest sont à couteaux tirés depuis que le chef libéral s'est abstenu d'inclure le député montérégien dans son cabinet, en 2003. Depuis, leurs désaccords ont été nombreux, notamment sur la privatisation d'une partie du Mont Orford.
Un autre libéral de marque, l'ancien premier ministre Daniel Johnson, a assisté au brunch de Sherbrooke. Il s'est toutefois refusé à tout commentaire sur la campagne de M. Charest.
Quelques dizaines de manifestants des milieux syndicaux et étudiants ont accueilli le chef libéral à son arrivée à l'événement de dimanche, auquel ont assisté plus de 1000 partisans, ce qui en fait la plus importante foule libérale depuis le début de la campagne.
2 mars 2007
Des dentistes menacent le régime d'assurance maladie
Des dentistes pédiatriques menacent de quitter le régime public d'assurance maladie à la mi-mars afin de protester contre les plafonds salariaux imposés.
Les dentistes ne peuvent facturer plus de 74 000 dollars par trimestre à la Régie de l'assurance maladie. Le montant comprend les salaires ainsi que les frais médicaux.
L'Association des chirurgiens dentistes demande l'abolition des plafonds salariaux pour les dentistes.
En vidéo, écoutez le reportage de Harold Gagné.
http://lcn.canoe.com/lcn/sciencesetmedecine/sciences/archives/2007/02/20070226-204008.html
la carie dentaire cause 1 décès!
Mary Otto
Washington Post
Mar. 2, 2007 04:39 PM
WASHINGTON - Twelve-year-old Deamonte Driver died of a toothache.
http://www.azcentral.com/offbeat/articles/0302dental-death02-ON.html
28 février 2007
les promesses liberal en santé
Promesse tenue!
Les libéraux promettent qu’à la fin d’un éventuel second mandat, «le Québec comptera 1500 médecins en exercice de plus qu’aujourd’hui». Les électeurs québécois peuvent compter là-dessus: cette promesse-là sera tenue. Et elle le sera… même si le PLQ n’est pas réélu! En effet, les nouveaux médecins qui arriveront sur le marché du travail au cours des cinq prochaines années sont déjà à l’université. Il est donc évident que, quel que soit le parti au pouvoir, ils seront bientôt à l’oeuvre.
Les libéraux soutiennent que le PQ est en grande partie responsable des problèmes d’accès aux soins parce que, lorsqu’il était aux affaires, il a à la fois diminué le nombre d’admissions en médecine et mis en place un programme d’incitation à la retraite des professionnels de la santé. Ce sont des faits difficilement contestables. Cependant, les péquistes se sont vite rendus compte de leur erreur.
Dès 1999, le gouvernement a entrepris de hausser le nombre de places ouvertes dans les facultés de médecin. De 1999 à la fin du mandat du PQ, ce nombre était passé de 406 à 666. Arrivés au pouvoir, les libéraux n’ont fait que continuer dans cette direction, le nombre d’admissions passant à plus de 750. Ainsi, des médecins qui arriveront sur le marché du travail au cours des cinq prochaines années, bon nombre auront entrepris leur formation… alors que le Parti québécois était au gouvernement.
Jusqu’à quel point les patients verront-ils une amélioration concrète dans l’accès aux services de santé, à la suite de cet ajout substantiel du nombre de médecins? Difficile à dire. D’une part, les besoins augmentent avec le vieillissement de la population. De plus, il est admis que les jeunes médecins ne travaillent pas autant d’heures que leurs aînés, qualité de vie oblige.
Le nombre de médecins n’est pas vraiment un enjeu de cette campagne, puisqu’il augmentera quoi qu’il arrive. À moins de vouloir sanctionner encore une fois une erreur pour laquelle les péquistes ont déjà payé en 2003…
http://blogues.cyberpresse.ca/pratte/?p=22#more-22
24 février 2007
«Est-ce que la santé est vraiment une priorité pour nos politiciens durant la campagne électorale?»
Les médecins dénoncent les plans régionaux d'effectifs médicaux
Émilie Côté
La Presse
Il faudra s'y faire, la pénurie de médecins ne sera pas réglée avant 2015. Mais le gouvernement aggrave le problème en diminuant le nombre de médecins dans les hôpitaux universitaires pour les mettre en poste en région. La Fédération des médecins spécialistes et la Fédération des médecins résidents du Québec sonnent l'alerte.
En conférence de presse, la FMSQ et la FMRQ ont remis en question les plans régionaux d'effectifs médicaux (PREM). Depuis 2003, le ministère de la Santé produit un plan chaque année afin de répartir équitablement les médecins dans la province.
Les fédérations admettent qu'il y a une pénurie de médecins, autant dans les centres universitaires que dans les hôpitaux éloignés des grands centres. «C'est une réalité que nous ne pouvons pas changer, soutient le Dr Gaétan Barrette, président de la FMSQ. Mais on ne peut pas résoudre les deux problématiques en même temps.»
Dans le PREM de 2007, on annonce que des départs ne seront pas remplacés dans les hôpitaux universitaires, au profit de postes en région. «L'objectif est louable, mais la conséquence est grave», avertit le Dr Barrette. Si un enfant de l'Abitibi souffre de leucémie, il sera traité à Sainte-Justine, même s'il y a un pédiatre de plus à son hôpital, a-t-il illustré. «Il ne faut pas juste placer un pédiatre en région. Il faut une équipe et un milieu d'expertise», a ajouté la Dre Thérèse Côté-Boileau, présidente de l'Association des pédiatres du Québec.
La FMSQ craint particulièrement pour les services universitaires de pédiatrie, d'anesthésie, de radiologie diagnostique et d'hémato-oncologie. Le Dr Barrette parle «d'effet domino». «Ce sont des spécialités qui sont pivots dans un hôpital. Dès que vous touchez à ces spécialités-là, vous diminuez l'offre de service pour la population de la région, et conséquemment, pour la population du Québec.»
Les PREM nuisent également à la formation des nouveaux médecins, souligne le Dr Martin Bernier, président de la FMRQ. Chaque année, le ministère de la Santé dévoile son plan trop tard, «rendant impossible la planification de recrutement».
«Depuis quelques années, c'est devenu pratique courante que les médecins qui sont sur le point de prendre leur retraite s'entendent avec leur résident remplaçant», poursuit-il. Avec le nouveau PREM, le médecin sortant doit remettre sa démission, effective le 30 novembre de l'année en cours. «On ne peut pas demander à un médecin qui pratique de démissionner cette année, parce que cette année, on recrute un résident, qui lui, va partir en fellow (surspécialisation clinique) et revenir dans deux ans, a commenté le Dr Barrette. On crée un trou de deux ans dans les effectifs, donc on baisse les services.»
Promesses libérales
En conférence de presse, le Dr Barrette a également commenté la promesse libérale d'embaucher 1500 médecins d'ici 2012. Ce n'est pas une promesse, considère-t-il, mais une réalité. «Selon l'annonce, essentiellement, les étudiants en médecine qui sont actuellement dans les programmes vont réussir leur examen. On est très content, ironise-t-il. C'est comme nous annoncer que, pour les cinq prochaines années, le soleil va se lever tous les matins... à l'est!»
Jean Charest promet également aux Québécois la garantie d'être opérés dans un délai de six mois. Pour cela, il faudra plus de lits, donc plus d'argent, plaide le Dr Barrette. «Le bloc opératoire est la première chose qui ralentit dans un hôpital quand l'urgence déborde. L'urgence déborde car il manque de lits aux étages.»
«Est-ce que la santé est vraiment une priorité pour nos politiciens durant la campagne électorale?» s'interroge le président de la FMSQ.
Seul le Parti libéral a affirmé que la santé était sa priorité, signale le radiologiste. «Mais il a annoncé le statu quo budgétaire. C'est clair qu'il n'y aura pas d'amélioration dans le système de santé.»
22 février 2007
YouTube - Radoter en santé
J'ai trouvé sur le site de Youtube un vidéo assez démonstratif des propositions et des positions du gouvernemnt libéral provincial.
Je souhaite sincerement que vous ne vous laisserez pas berner par de vaines promesses qui seront oubliés le lendemain des élections!
19 février 2007
Les dentistes se disent sous-payés
Honoraires remboursés par la RAMQ
Les dentistes se disent sous-payés
Chantal Maltais
Le Journal de Montréal
17/02/2007 09h19
Les chirurgiens dentistes du Québec en ont assez de soigner des prestataires d'aide sociale ou des enfants pour des honoraires qu'ils jugent dérisoires.
Le problème que rencontrent les 3600 membres de l'Association des chirurgiens dentistes du Québec (ACDQ) concerne les honoraires versés par le régime public lorsque les soins sont prodigués à des enfants de 0 à 9 ans ou à des prestataires de l'aide sociale.
Selon eux, les honoraires accordés par la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ) couvrent à peine leurs frais d'exploitation (salaires des employés, loyer ou hypothèque, coûts reliés aux mesures d'hygiène et d'asepsie, etc.).
Le ministre Couillard
Compte tenu des sommes versées par la RAMQ et de l'augmentation annuelle moyenne de 3,5 % des frais d'exploitation auxquels doivent faire face les dentistes, leur taux horaire, lorsqu'ils traiteront ces clientèles, sera de 4 $ de l'heure en 2009, affirme l'ACDQ.
«En quatre ans, le ministre Couillard n'a jamais trouvé le temps de nous rencontrer. C'est à se demander si la santé dentaire est importante pour lui», a dénoncé la Dre Chantal Charest, présidente de l'ACDQ, hier, en point de presse à Québec.
«Ce que nous remet le gouvernement est investi à 85 % pour couvrir nos frais d'exploitation, et parfois même plus. Il ne reste alors au dentiste qu'une rémunération personnelle inadéquate», estime la Dre Charest.
Urgence
Ainsi, selon un dentiste qui préfère garder l'anonymat, une personne qui vient en consultation d'urgence pour une dent cassée paiera en moyenne 50 $ avec les radiographies. Pour la même consultation, la RAMQ ne donne que 19,25 $.
«Pour une prothèse complète, par exemple le dentier d'en haut, le gouvernement va rembourser 518 $, alors que sans compter nos frais d'exploitation, juste en frais de laboratoire, ça nous coûtera de 250 $ à 300 $», affirme un chirurgien dentiste de la région de Québec.
Le ministre Philippe Couillard n'a pas retourné les appels du Journal, hier.
«Le ministre ne les commentera pas publiquement»,
Les dentistes doivent mieux administrer leurs affaires
Charles Rooke
Journal de Québec
18/02/2007 08h23
Alors que les chirurgiens-dentistes se disent sous-payés, le ministère de la Santé affirme qu'ils doivent mieux administrer leurs revenus.
«Il y a beaucoup d'actes qu'ils peuvent faire en pratique privée. C'est à eux de gérer leurs affaires», signale Isabelle Merrizi, attachée de presse du ministre de la Santé, Philippe Couillard.
Les chirurgiens-dentistes ont dénoncé, vendredi, les honoraires versés par le régime public lorsqu'ils soignent des enfants de moins de neuf ans ou des prestataires d'aide sociale.
Selon eux, les sommes allouées par la Régie de l'assurance maladie du Québec couvrent à peine leurs frais d'exploitation.
Au ministère de la Santé, on dit que des négociations sont en cours pour régler le déséquilibre.
«Le ministre ne les commentera pas publiquement», dit Mme Merrizi.
L'Association des chirurgiens-dentistes du Québec a demandé en décembre de rencontrer le ministre de la Santé, M. Couillard.
La rencontre n'a toujours pas eu lieu.
«C'est un délai normal compte tenu de la situation des négociations avec le ministère», dit l'attachée de presse de Philippe Couillard.
http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/02/20070218-082300.html
17 février 2007
l'ACDQ déçue de voir aucune considération pour les dentistes
L'Association des chirurgiens dentistes grandement déçue du comportement du ministre Couillard : Quatre années d'indifférence et de mépris
QUEBEC, le 16 fév. /CNW Telbec/ - "Le bilan de Philippe Couillard,
ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, quant au régime public
de soins dentaires tient en deux mots : indifférence et mépris", a déclaré
aujourd'hui la présidente de l'Association des chirurgiens dentistes du
Québec, la Dre Chantal Charest.
Soulignant le manque total d'intérêt du ministre pour le régime public de
soins dentaires, la présidente de l'ACDQ a indiqué que, tout le long de son
mandat, le ministre a fait preuve d'une indifférence absolue envers les
problèmes des dentistes et de leurs patients. Il a ignoré toutes les
représentations qui lui ont été faites par l'ACDQ, et sa seule réponse aux
revendications des dentistes de moderniser le régime public aura été de leur
demander de financer eux-mêmes les quelques changements que, lui, jugeait
nécessaires. Enfin, il n'a pas trouvé, en quatre ans, un seul instant pour
rencontrer les représentants des dentistes québécois.
Moins que le salaire minimum
Le ministre ignore sciemment la réalité des cliniques dentaires. On sait
qu'une clinique dentaire, c'est un petit hôpital. Ce sont des locaux adéquats,
de l'équipement de pointe, du personnel qualifié, une gestion particulière.
Les nombreuses chirurgies réalisées quotidiennement dans les cliniques
requièrent des mesures d'hygiène et d'asepsie comparables à celles des centres
hospitaliers. Les dentistes assument seuls tous ces coûts et sont les seuls
responsables de la qualité des services qu'ils rendent.
Or, les honoraires prévus par le régime public permettent à peine aux
dentistes de couvrir leurs frais d'exploitation - qui représentent 85 % de ces
honoraires -, ne leur laissant qu'une rémunération personnelle totalement
inadéquate. Ces frais d'exploitation augmentent au rythme de 3,5 % par année.
En fait, suivant la proposition du ministre, les dentistes seraient rémunérés
4 $ l'heure lorsqu'ils traitent des enfants de 0 à 9 ans ou des prestataires
de l'assistance-emploi. C'est deux fois moins que le salaire minimum. Non
seulement cela ne correspond-il pas à la parité avec les médecins, mais il n'y
a pas un seul professionnel de la santé qui soit payé moins que ça au Québec,
au Canada et dans le monde occidental.
Des préoccupations purement monétaires
Pour le ministre, les soins que rendent les dentistes à leurs patients ne
sont malheureusement pas valorisés. La raison est simple : il a décidé à
l'avance ce que devait coûter le régime public, peu importe les circonstances,
les besoins des patients ou la rémunération des dentistes.
Pour favoriser l'accessibilité aux soins dentaires, l'ACDQ a accepté, à
la demande du ministre, de financer l'augmentation du plafond trimestriel à
même les sommes dues à l'ensemble des dentistes. Malgré notre effort, l'accès
aux salles d'opération des centres hospitaliers demeure limité. Les dentistes
ne peuvent plus soutenir financièrement le régime. Pourtant, le ministre
Couillard se croit justifié de continuer à leur demander d'assumer eux-mêmes
le coût de toutes les améliorations à apporter au régime public et à la
rémunération.
Un dernier appel
"En quatre années d'exercice du pouvoir, Philippe Couillard n'a pas
trouvé cinq minutes pour rencontrer les dentistes québécois, des
professionnels à part entière du système de santé. A l'orée de la campagne
électorale, occasion idéale pour faire le bilan du gouvernement, il est sans
doute encore temps de redresser la barre. Nous l'invitons à prendre conscience
de l'urgence d'agir et de corriger cette situation inéquitable.", a conclu la
Dre Chantal Charest.
Renseignements: Geneviève Déry et Sylvie Lafrance, (418) 523-3352;
Source: ACDQ, Chantal Charest, (514) 282-1425
http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2007/16/c9183.ht